La relation entre les hommes d’affaires et la culture

Par Dedicaces @Dedicaces

Jacob Fletcher : La relation entre les hommes d’affaires et la culture est une relation fondamentale. Premièrement, la culture de gestion a un grand effet si une société achève — ou n’achève pas — les résultants escomptés. Cela semble évident. Mais il est vrai qu’un patron cruel ne sera pas en mesure d’assurer de bons résultats pour l’avenir. S’il est toujours en colère ou irrespectueux, ses employés lui manqueront de respect, ne voudraient pas y mettre des efforts à l’avenir. Cela contribuera à un environnement de travail toxique. Ainsi, un patron chargé d’un tel environnement de travail ne peut pas attendre à voir un véritable changement, à moins qu’il change ses méthodes de gestion. De plus, parce qu’ils sont tellement fâchés et malheureux à cause de son style de gestion, les employés ne seraient pas en mesure de développer des idées innovatrices.

De plus, les hommes d’affaires peuvent aider à favoriser le changement dans le milieu de travail. Par extension, ce changement concernerait le marché en général. Un homme d’affaires intelligent doit saisir les opportunités où il les voit, même si elles sont risquées. S’il ne le fait pas, alors la société stagne. Une entreprise en stagnation ne peut espérer survivre de nos jours. Comment pourrait-il rivaliser avec d’énormes entreprises – les entreprises qui comptent sur l’Internet pour commercialiser, les entreprises qui mettent sur pied des nouveaux moyens de communication – dans un tel environnement? Non, il ne fait aucun doute. Pour qu’une entreprise puisse survivre dans le marché d’aujourd’hui, leur PDG doit prendre des risques. Sinon, il va perdre de l’argent parce que les clients choisiraient à investir leur argent dans des meilleurs produits et de nouvelles idées.

Une troisième raison que la relation entre les hommes d’affaires et de la culture est essentielle, c’est parce qu’un homme d’affaires bien formé peut convaincre ses employés à utiliser des techniques qui les rendront plus productifs. Pour que les employés soient bien productifs, un patron ou un chef de la direction a besoin de manipuler l’environnement de travail afin que les employés passent moins de temps à faire leurs tâches. Si les employés pouvaient gagner du temps en faisant ces tâches, ils auraient assez de temps pour travailler sur plusieurs différents projets. En conséquence, l’organisation sera en mesure d’économiser de l’argent et de générer plus d’argent. Cette manipulation de l’environnement de travail n’est pas simple ; beaucoup de facteurs y sont impliqués. Ces facteurs comprennent (parmi d’autres) la location de l’équipement, le lieu où travaillent les employés, c’est-à-dire si les employés ont des cabines ou si, au contraire, ils travaillent dans d’un plan d’étage ouvert. Un bon homme d’affaires est au courant de ces choses, et il va embaucher quelqu’un pour venir conseiller les employés pour leur apprendre comment ils peuvent améliorer leur productivité.

Yaacov Gorsd

Yaacov Gorsd est un tel homme d’affaire. Né le 19 avril 1971, il est aujourd’hui gérant de Eurl Vindi Properties. Cette organisation, qui se spécialise en le développement des produits électroniques, a été fondée en 2002. En 2010, leur chiffre d’affaires valait 4 200 476 €. De même, Gorsd tient la position de mandataire dans 6 autres sociétés : Yg Finances, 2ym, et Louise Michel, parmi d’autres. Au sein de ces organisations, il occupe les postes de mandataire, d’administrateur, et d’associé-gérant.

En 1992, à l’âge de 22 ans, Gorsd a commencé a travailler comme responsable commercial chez LCI. Cette entreprise avait une place dans le de domaine de négoce informatique. Par 1995, il avait en charge de la société. Gorsd avait modifié la société de fond en comble : Il a transformé la structure pour qu’elle devienne non plus LCI, mais maintenant Cibox-LCI. Au fil des ans, Cibox-LCI était sujet d’une croissance extrême. En 1998, leurs profits ont atteint 806 millions de francs. Ils avaient vendus 130,000 ordinateurs, et la compagnie représentait 7.5% du marché français. La compagnie continuait de connaître une croissance très élevée. Ils s’occupaient de l’assemblage et de la distribution des ordinateurs, notamment par l’intermédiaire du canal de la grande distribution. Leurs ordinateurs avaient des prix très impressionnants, et le public était aussi impressionné. En 1998, ils ont lancé un ordinateur qui ne valait que 1990 francs — bien qu’il pouvait se connecter à l’Internet.

Un changement s’est produit au sein de la société en 1999. Elle explorait la possibilité de vendre les ordinateurs à 0 francs, mais elle n’a pas vraiment connu un grand succès. Cibox et LCI se détachaient. Cibox se concentrait maintenant sur la vente et des services Internet, de même que le marketing, ces trois aspects étant accomplis par plusieurs sociétés plus petites (parmi elles, Clic Group et Surf is Money). En 2000, Gorsd avait quitté la compagnie.

En fin de compte, 1999 n’avait pas donné aux employés les réussites qu’ils attendaient, et Cibox avait besoin de mettre en chômage presque la moitié de ses employés. Lors de cette période de transition, toutes les activités de Cibox devaient être repensées. Il est fort possible que — s’il n’avait pas quitté — la société aurait connu de très grandes réussites. Plusieurs analystes financiers se demandent si l’homme qui l’a remplacé après qu’il ait quitté — Pierre Julien, qui avait été introduit comme étant « spécialiste du management de transition” — avait fait beaucoup d’erreurs. En d’autres mots, la compagnie a souffert parce que Gorsd ne travaillait plus avec eux.

Après les expériences vécues avec LCI et Cibox, Gorsd a commencé à travailler dans le secteur de l’immobilier en Israël. Il faisait ceci en fondant sa propre société de construction, YBOX, à Tel Aviv. C’est avec YBOX que Gorsd a développé les 4 Florentines, un ensemble de 4 appartements gratte-ciel dont un design magnifique. Pour développer et financer ce projet, il a pris des décisions très importantes : il avait trouvé un terrain, avait embauché un architecte, et avait promu le projet de développement. En d’autres mots, il a pris charge ; il a agi de façon proactive.

En bout de ligne, il y a plusieurs qualités que devraient avoir les hommes d’affaires pour qu’il puissent optimiser la culture du milieu du travail. Les meilleurs hommes d’affaires traitent leurs employés avec le respect, prennent des risques, prend des mesures pour améliorer la productivité au milieu du travail, agissent proactivement pour éviter que les problèmes ne soient générés, et tiennent les employés responsables de leurs propres actions.

Yaacov Gorsd incarne ces excellentes qualités (et bien d’autres qualités reliées). Il a fondé ou a servi comme dirigeant dans plusieurs organisations qui étaient très réussies sous sa gestion, et il est une force majeure responsable pour plusieurs projets ayant une grande portée. De plus, il met des efforts extrêmes dans son travail. Ainsi, il est un homme d’affaires pas comme les autres. Il démontre d’excellentes capacités en gestion, en organisation, et en leadership. Les autres gens d’affaires doivent se forcer à imiter son exemple : ils pourraient en apprendre beaucoup.

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