A la mode de Grazia

Publié le 01 septembre 2016 par Laptitebulledelo @PtiteBulledElo

Après mon débrief actu + beauté + stars de Grazia d'hier, celui d'aujourd'hui sera 100% consacré à la mode ! Au programme, un nombre incalculables de pubs de jolies photos, de belles rencontres et de chouettes décryptages.
1. On peut tout d'abord "rencontrer" le créateur irlandais C.W Anderson, à la tête de sa propre marque et de la direction artistique de Loewe : il révèle qu'il ne vient pas du tout d'un milieu mode, mais qu'il a toujours eu un "désir fort de s'habiller". Très queer à l'université, il adorait Jean-Paul Gaultier ; quant à son amour du théâtre, il s'est en fait transformé en un amour pour les costumes de théâtre : il a ainsi trouvé sa voie. Il nous explique aussi comment il gère ses deux maisons et pourquoi il pense que la mode va devenir plus "sexuelle" ou que les créateurs ne sont plus "immortels" comme avant. Les journalistes soulignent très souvent son côté "post-moderne", dans le sens où il mêle présent et modernisme avec talent, les fait se "clasher" sans fausse note : pourtant C.W Anderson ne se voit pas "si" grand et il estime que seul l'avenir dira s'il a vu juste ; et s'il pouvait créer un seul vêtement traversant les époques, il s'en estimerait très heureux. 2. Lumière ensuite sur Anthony Vaccarello, qui reprend la maison Yves Saint Laurent après le départ d'Hedi Slimane. La rédaction estime que son aptitude à mettre en avant une féminité forte et sensuelle, des jeunes sains et désirables mais aussi son caractère humble et discret, son bon réseau d'amis célèbres et son talent pour revisiter des silhouettes mythiques d'autres grandes griffes lui permettront de reprendre dignement le flambeau. 

1. Un dossier est consacré à ces femmes qui décident d'ajouter une corde à leur arc, une activité mode à leur vie professionnelle déjà bien remplie et parfois aux antipodes de cet univers : Larurence Mahéo est par exemple ostréicultrice et créatrice de La Prestic Ouiston, Juliette Mallet travaille pour Universal en plus d'être la boss de Coucou Suzette tandis que Sidonie Slidart est organisatrice d'événements de yoga et directrice artistique de Homecore. Un bon cercle de connaissances, une bonne dose de travail et de patience leur ont permis de concrétiser ce rêve, bien aidées aussi par Instagram, véritable plate-forme d'inspirations et gros tremplin. 2. Fendi et Rome, c'est une grande histoire d'amour. La maison italienne l'a prouvé en ajoutant "Roma" à son nom, mais aussi en restaurant certains grands monuments, comme la Fontaine de Trevi, entre autres. Son siège social est également un bâtiment qui fût construit à l'ère mussolinienne avant d'être laissé à l'abandon : Fendi a pris possession des lieux après une totale rénovation, leur donnant une âme. Fendi offre ainsi à Rome, qui l'a toujours inspirée ce que l'Etat ne peut lui offrir : l'entretien et la mise en beauté de ses plus beaux monuments. Pour qu'elle reste une ville splendide ! 

1. A la recherche des dernières actus mode, à lire en trente secondes ? Le Fashion Télex de la rédaction est là ;) J'aime bien ce format très court, et j'espère que cette page restera pour les prochains numéro de Grazia. 2. Et on termine avec cette page dédiée à l'égérie de ce numéro, la mannequin anglaise Rosie Tapner. On rencontre une jeune fille très simple, qui ignorait tout de la mode il y a encore peu de temps (au point de ne pas tellement connaître Nicolas Ghesquière, qui sera le premier à la repérer), et qui a séduit un bon nombre de belles maisons grâce à sa mâchoire carrée et son style un peu sixties. Mais comme d'autres avant elle, c'est son changement de coupe de cheveux qui va la propulser dans la sphère mode : "un carré mi-long peroxydé avec une frange". Ca me surprendra toujours ce genre d'histoires ! 



Et voilà ! J'espère que ce décryptage en deux temps de ce numéro Spécial Mode de Grazia vous aura plu :) On se retrouve samedi, pour un prochain billet d'inspirations :) 



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