Le thème en était la puissance destructive de la croyance religieuse ou spirituelle, du charisme magnétique d'un leader et surtout, de l'attachement tenace de ses adeptes aux « vérités » qu'on avait pu leur inculquer, en dépit de la rigueur de l'épreuve vécue.
Cela m'a fait rappelé que les religions organisées, les convictions politiques et les mouvements de toutes sortes ne sont pas tellement différents de ces cultes destructeurs, et quand les adeptes ont été parfaitement endoctrinés sur une idée des plus bizarres, il est très difficile de croire qu'il puisse faire demi-tour.
Je pense aux nazis, aux vieux communistes de l'ex-URSS, aux évangélistes sous toutes leurs formes, aux adeptes de Trump ou à des ex-catholiques comme moi. Se libérer de telles convictions semble toujours très difficile, voire totalement impossible.
Jusqu'à présent, je pensais que la religion ou toute autre forme de contamination mentale n'était que l’équivalent d'un « poison », c'est aussi celui d'une « prison ».