J’ai découvert les Sunrays d’une étrange manière. Mais... cette histoire n’en est qu’une parmi toutes celles qui peuvent être racontées par les collectionneurs je suppose...En me baladant tôt dans une brocante locale l’été dernier, dans un petit village près de chez moi, je repère un lot de 45 tours tenu par deux retraités. Les quatre ou cinq bac plastiques me semblent suffisamment achalandés de choses peu courantes pour que j’y jette un oeil, d’autant plus que le reste du marché ne propose pas beaucoup de chose intéressantes. J’engage la conversation, et il se trouve que ces disques proviennent d’un ancien club local, qui a officié au début des années 70. Le fonds est plutôt Pop rock et je me dis que j’ai bien fait de venir. Parmi les 15 disques avec lesquels je repartirai, il y aura des choses connues, et d’autres non, prises sur le seul aspect, le nom du label et/ou la tronche des gars sur la pochette.Et parmi eux : le single des Vanity fare : « Our own way of living » (1971).
Je ne connaissais pas ce groupe anglais, formé en 1968, et ce single m’a inspiré. Surtout sur label Page One, un nom évocateur de bons sons. Bien m’en a pris, car si ce single plus tardif dans la carrière du groupe est effectivement un winner, j’ai pu réaliser que Page one était un label distribué par Fontana et fondé par Larry Page en 1966 très orienté Mod, (Troggs, Loot…) et que le premier single de ces Vanity fare « I live for the sun » était génial.
> Achat direct du single en occasion.
Mais ce titre très surf.. que faisait-il dans la disco d’un groupe anglais de 1968 ??
Un ep australien des années 80
remettant les Sunrays en avant
Ecouter le très garagy « Don’t take yourself too seriously », paru uniquement en single en 1966, et dispo aussi sur la compile.
Une compilation disponible sur Spotify :