J’espère que les dirigeants de BELL, leurs juristes et leurs conjoints (tes) n’ont pas trop dépensé d’AVANCE les millions qu’ils s’apprêtaient à se bourrer les poches, car le montant de la transaction sera certainement moindre ou au pire… NUL! La cour d’appel du Québec, dans un jugement sans précédent a imposé une pause à cette transaction de plus de 50 milliards! Le tribunal estime que les droits des obligataires ont été bafoués, au profit de ceux des actionnaires. Il faut comprendre que le fonds de pension Teachers finançait outrageusement cette achat et diluait ainsi la dette d’au moins 20% des porteurs d’obligations. Les gros détenteurs comme Manulife, Sun Life et TD Asset Management n’ont même pas été consultés lors des négociation menant à la vente de BCE.
Plusieurs options sur la table mais la balle est vraiment dans le camp obligataire. Attendons-nous à une baisse du prix d’achat… et ce, si les financiers américains veulent toujours se mouiller!