Valérian, accident insdustriel ?

Publié le 27 juillet 2017 par Didier Vincent

Dans le décor

Donc, Télérama descend Dunkerque de Nolan et encense Valérian de Besson perçu par pas mal d'autres critiques comme un navet spatial inique. Il faut aller voir Valérian avec un œil de poète kitsch qui ne vient pas pour un blockbuster mais pour une curiosité bédéique qui plaît parce qu'elle est transgenre. Je ne suis pas inquiet pour Besson qui va s'en tirer avec les droits de diffusion d'après cinéma propulsés par la grande puissance marketing des plateformes multimédias. Mais pour le SF française qui se trouve reléguée dans un coin de la galaxie, celui des curiosités fadasses et sans âme.