L’aquabike, mon bilan après 3 ans

Par Charonbellis @charonbellis

Pause du mois d’août oblige, j’ai pris du retard pour certains de mes articles, notamment pour mon bilan sportif. Et comme certaines d’entre vous attendent ça avec impatience, aujourd’hui, je me lance dans mon bilan de ces dernières années.

Pour celles qui arriveraient par ici, il y a trois ans, je me suis lancée dans l’aquabike. Alors que c’était la grande mode à ce moment là, et que j’étais assez réticente quant à cette discipline (le vélo, c’est fait pour être utilisé en plein air, pas dans l’eau), il ne m’a fallu qu’un cours d’essai pour devenir accro. Un prof entrainant, une dynamique de groupe au top, un sport qui se pratique facilement, c’est tout ce que je voulais. Car voilà, le sport et moi ça a toujours fait 10. Dès le collège j’ai bien senti que je ne serais jamais une grande sportive. J’avais les cours d’endurance en horreur, tout comme le javelot, le ping-pong, le foot et le handball. La seule discipline que j’aimais c’était la natation, mais on n’en faisait jamais assez.

Comme je bosse dans un bureau, je suis tout le temps assise, et je voulais un sport un peu complet, qui fasse tout travailler sans forcément être mâchée par les courbatures le lendemain, donc quand j’ai décidé de me mettre « régulièrement » au sport (pour me détendre et évacuer les mauvaises journées, pour me permettre de profiter de mes desserts préférés sans culpabiliser), le domaine aquatique s’est forcément imposé.
D’où le choix de ce cours d’essai d’aquabike.

Alors oui, c’est en salle de sport et ça coute forcément plus cher qu’aller tout simplement à la piscine, mais voilà, c’est comme ça que je me motive. Comme je ne peux pas annuler les cours sans perdre ma séance, je suis forcément obligée d’aller au sport. Même si la salle où je vais n’est pas la plus proche de chez moi, comme c’est mon moment mère-fille de la semaine, le petit trajet en voiture se fait toujours facilement (depuis peu de temps je complète avec de la natation et je ne fais plus qu’une séance par semaine).

Je l’avais déjà expliqué dans mes précédents billets, dès les premières séances, j’ai pu voir les résultats sur mon corps. L’effet massant de l’eau quand on pédale permet l’éliminer l’acide lactique tout au long de la séance et de ne pas avoir de courbatures le lendemain (on sent juste que les cuisses chauffent quand on monte les escaliers), la cellulite diminue rapidement, le problème des jambes lourdes n’existe plus, les abdos se marquent vite… Je vante ces mérites à chaque fois que l’on me demande quelle activité je fais, et j’ai d’autant plus réalisé à quel point ce sport a changé ma vie au cours de l’été. Cette année, à cause d’un vilain lumbago, je n’ai pas pu aller au sport de l’été, et lors des pics de chaleur, dire que j’avais des jambes lourdes était faible. Heureusement que j’avais mes sticks Elusanes Ciruclation Naturactive pour tenir le coup.
Avec cette pause, et à cause des nombreux changements de coachs à la salle, les effets ne sont pas aussi visibles que les années précédentes, mais bon, la priorité c’est de se détendre et se défouler, et l’objectif a malgré tout été atteint.

Même si parfois certaines positions sont un peu acrobatiques comme les pompes sur la selle du vélo, les fesses hors de l’eau, ou nager derrière la selle en pédalant, sans avoir une condition sportive de dingue, ça se pratique facilement.
A condition de trouver l’endroit qui nous correspond le plus, c’est un sport que je vous recommande à tous !

Et toi, tu fais quoi comme sport ?

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