Heps la blogo!
Review mensuelle du James Bond du mois, et après la très bonne surprise que fut l’opus précédent, on est quelque peu retombé dans les travers du Bond moyen cette fois-ci.
Mais il n’y a pas que du mauvais, et on en parle de suite!
Je spoile!
Des sous-marins britanniques et soviétiques disparaissent mystérieusement en mer. Suivant une piste l’emmenant vers l’Autriche, James Bond se frotte à des agents de l’URSS et tue leur leader. Faisant alors équipe avec l’agent Anya Amasova du KGB, il tente de retrouver ceux qui volent leurs appareils…
En soi, j’avais bien aimé le pitch de ce film-ci, surtout que le titre induisait en erreur. Il ne s’agit pas de Bond, l’espion qu’Anya aimait, mais bien de l’agent soviétique qu’il tue en début de film. Habile.
Maintenant, j’ai trouvé lé scénario fortement léger. Cette idée de mégalo qui veut détruire la Terre et reconstruire une vie sous-marine c’était hyper tiré par les cheveux au point d’en devenir futile, et le méchant a un charisme de moule.
Ceci dit, j’ai beaucoup aimé la voiture choisie pour ce film: une Lotus, aka l’une des plus belles bagnoles au monde. Mais je préfère quand même l’indémodable Aston Martin.
Parlons Bond Girl: moins nunuche que certaines des précédentes, mais elle aussi présentant un problème de charisme. Sinon elle et Roger Moore fonctionnent bien ensemble. Mais c’est tout.
En fait, ce que j’ai préféré dans TSWLM c’est Jaws. Parce que merde, j’ai grandi avec Richard Kiel parmi mes icônes ciné absolues juste à cause de ce géant aux dents d’acier. Et maintenant, à chaque fois que je le vois, je pense au Boulet. Problème… XD
Bref, un Bond moyen, qui précède peut-être une baisse de régime pour Jolly Roger. On verra.
Note: 6,25/10 (scénario: 5/10 – jeu: 7/10 – BO: 6/10 – Bond-spirit: 7/10)