vacille de coques

Publié le 22 janvier 2018 par Pjjp44

    photo Patrick L.
Osciller
sur sa toile.
Vibrer avec allure des vents
en écho aux balivernes des Hommes.
Dodeliner du croupion de tête
à la fête du bruit dans la ramure,
au silence des écrans luminescents
en réponse aux regards incandescents
des êtres
de chaire
et de sans.
Ballotter dans les fables
et les histoires qui passent l'armure du son
du Moi
de saison
Tous ses On
basculant en rythme
et couplets.

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OSCYL
mardi 23 janvier
Le Théâtre de Saint-Nazaire
"Quatorze formes issues de deux peuples composent un paysage. D’une part, les humains aux morphologies plurielles. De l’autre, sept sculptures biomorphiques à hauteur d’hommes, nommées les Oscyls pour leur capacité d’oscillation et inspirées d’une œuvre de Jean Hans Arp.
Par la danse, les hommes tentent d’établir un contact avec ces créatures d’un autre genre. Comme un nouveau langage, chaque approche, chaque toucher appelle une réaction chez les Oscyls et entame le dialogue. Ces présences intrigantes entraînent alors une mise en jeu des corps allant de la grande délicatesse à l’ivresse jubilatoire. Si l’homme est généreux et leur offre son souffle, alors ils basculent, arpentent et tourbillonnent. Parfois, ils déjouent son mouvement, parfois ils le prolongent. Une fois lancés, ils témoignent toujours devant nos yeux d’une étrange autonomie. Sont-ils des pantins abstraits, des culbutos géants, des miroirs ou des alter-égo ? .../..."
suite et source: Le Théâtre de Saint-Nazaire



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Question  essence ciel:

Mais d'où vient le vent?


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