Je me suis demandé si Graham Greene n'avait pas écrit une étude de l'âme anglaise. L'Anglais a une passion pour les voyages, au sens premier du terme "passion" : il se complaît dans la souffrance que lui apporte l'inadaptation de ses moeurs contre nature à la réalité du monde.
(Ce genre culturel, l'Anglais en difficulté à l'étranger, a un nom : "Brits in the shit". Il fait vendre les journaux.)