Coups de cœur 2018

Publié le 26 décembre 2018 par Adel31

En 2018, j’ai été gâté car presque tous mes lectures et mes séances de cinéma se sont transformées en coups de cœur. Est-ce que 2019 me gâtera autant, réponse l’an prochain.

Le premier coup de coeur est le dessin animé de Disney Coco.

Le deuxième coup de coeur est aussi un film Pentagon Papers. Le Washington Post enquête sur les manoeuvres des présidents pour dissimuler des affaires d’Etat. Un grand Tom Hanks et une grande Meryl Streep.

Le troisème coup de coeur est mon premier coup de coeur littérature, il s’agit du monde des mages de Jessie Denis. Quatre adolescents qui ne se connaissaient pas, qui se rencontrent sur les routes doivent maîtriser leurs pouvoirs magiques. Ils doivent être prêt à affronter les forces du mal.

Quatrième coup de coeur de 2018, j’irai danser à Orlando de Philippe Corbé. Philippe est le correspondant aux Etats-Unis pour la radio RTL, il raconte comment il a vécu la tragédie de l’attentat dans la boîte de nuit le Pulse. Ce livre est un témoignage très touchant d’un journaliste au coeur de l’action devant faire face à ses émotions.

Cinquième coup de coeur, La Ch’tite famillehttps://aliehobbies.com/2018/05/01/la-chtite-famille-dany-boon/ de Dany Boon. Après bienvenue chez les Ch’tits, Dany Bonn explore le thème de l’attachement à ses racines et des mensonges inventés pour percer dans le milieu.

Un autre coup de cœur pour un film: l’extraordinaire voyage du fakir. C’est un film sans prise de tête qui fait voyager. On s’attache aux deux personnages principaux.

Le deuxième coup de coeur littérature est la dernière aventure du marquis de Ranreuil, commissaire aux affaires extraordinaires j’ai nommé Nicolas le Floch. La dernière enquête à pour titre le prince de Cochinchine, c’est très bien écrit et ficellé de bout en bout. Mon grand regret c’est que le personnage de Nicolas ne connaisse pas la Révolution.

Le dernier coup de cœur de l’année 2018 est pour le film un peuple et son Roi. Les interprétations de Louis Garrel (Robespierre), Gaspard Ulliel (Basile) et Laurent Laffite (Louis XVI) sont justes.

Un peuple et son roi – chronique