Passagère du silence, un livre de Fabienne Verdier.

Publié le 25 avril 2019 par Paulpujol

    Une plongée dans une Chine oubliée, faite de calligraphie et d'approche de la vie Taoïste, avec une touche de Bouddhisme Chan (libertaire et irrévérencieux).

    Dix ans d’immersion avec Fabienne Verdier, un long voyage intérieur et extérieur.

    Pour tous ceux qui pense que l'art rime avec liberté.

   Présentation de l'éditeur:

    Tout quitter du jour au lendemain pour aller chercher, seule, au fin fond de la Chine communiste, les secrets oubliés de l'art antique chinois, était-ce bien raisonnable ? Fabienne Verdier ne s'est pas posé la question : en ce début des années 80, la jeune et brillante étudiante des Beaux-Arts est comme aimantée par le désir d'apprendre cet art pictural et calligraphique dévasté par la Révolution culturelle. Et lorsque, étrangère et perdue dans la province du Sichuan, elle se retrouve dans une école artistique régie par le Parti, elle est déterminée à affronter tous les obstacles : la langue et la méfiance des Chinois, mais aussi l'insupportable promiscuité, la misère et la saleté ambiantes, la maladie et le système inquisitorial de l'administration... Dans un oubli total de l'Occident, elle devient l'élève de très grands artistes méprisés et marginalisés qui l'initient aux secrets et aux codes d'un enseigne- ment millénaire.
    De cette expérience unique sont nés un vrai récit d'aventures et une oeuvre personnelle fascinante, qui marie l'inspiration orientale à l'art contemporain, et dont témoigne son extraordinaire livre d'art L'unique trait de pinceau (Albin Michel).