Cinéma suite de mon festival de Cannes, Fin de Game of Thrones, Dogman, Le Monde est à toi

Publié le 22 mai 2019 par Nathpass
J’ai vu trois films et je n’en regrette aucun c’est bizarre d’aller au cinéma de plus en plus « pour faire société » pour ne pas être ridicule dans mes rares soirées depuis que je suis un régime horaire : ne pas souper mais dîner au plus tard à 20h... pourquoi je parle de cela car forcément je vais moins au théâtre : manger avant de jouer... ou de voir jouer m’a toujours paru impossible... qui sait il suffit de vivre outre Manche ? -et puis aussi parce que j'aime de + en + nos soirées à la maisonBon revenons en attendant " mieux " au cinéma dont deux films à la télévision Canal + cinéma.(mieux : le théâtre ? trop long à developper comme un peu demander aux fans absolus de foot et qui regardent aussi le rugby lequel ils préfèrent des deux)le premier film "The dead don't die " de Jim Jarmush dans une des grandes salles du RDC mes préférées au Gaumont-Convention, The dead don’t die, ce film nous a fait sourire dès le début, pas à un seul moment il nous a fait peur. Il est fidèle au genre et en même temps, on a jamais vu des zombies pareils... Je me suis faite avoir par le scénario je me suis attachée en vain aux personnages les reacs vivent aussi peu longtemps que les élégants ou les passionnés de cinéma. C’est un cinéma qui a digéré toutes nos addictions dont celle aux portables smartphones, devinez qui sont ceux qui s’en sortent.... Je ne vous révélerai rien d’autre car c’est bien que ce film reste inattendu... -en sortant je marchais un peu comme une zombie-commela Fin d’une série, ne jamais spolier.une méchante critique the-dead-don-t-die-la-critique-du-filmen l’occurrence je pense à Game of Thrones j’ai préféré pendant dix ans que Pascal me la raconte et me sélectionne les meilleurs passages mais là pour les derniers épisodes je l’ai regardée avec lui , je l’ai presque gêné, pour le dernier épisode... mais bon ! compte tenu de cette singularité addicte à la dernière saison seulement, j’ai beaucoup aimé les deux derniers épisodes à condition de les lier, là non plus je ne dévoilerais rien, en tant qu’être humain je suis très contente de la fin...https://www.senscritique.com/film/Dogman/critique/171889236 une gentille critiqueDogman, pour les chiens ? ! Non pour le film la noirceur du film le mélodrame attendu donc tragique et comment on ne peut avoir aucune compassion au cinéma pour la mort d’un des personnages. J’ai beaucoup aimé la relation avec sa fille du toiletteur pour chiens. Je lui donnerai un autre titre Dogman ou comment adoucir les bêtes féroces quand c’est possible. Et le dernier film de Romain Gavras sur une chanson de Balavoine : le monde est à toi, quel pans du cinéma réouverts transformés inspirés de toutes les séries sur la banlieue, les trafics mais pas seulement. Il y a du burlesque : Adjani hallucinante dans un rôle de Kaïra, de reine des cagoles. Vincent Cassel que lui aussi j’ai trouvé très convaincant dans un aspiré par les théories de complot véhiculées sur Internet les réseaux sociaux. L’acteur Karim Leklou rôle principal est excellent, je l’avais vu dans Hippocrate, et bien-sur Philip Katerine impayable dans un rôle d'avocat plus que véreux... Le monde est à toiTéléramaAbonnéLa critique parJacques Morice"Romain Gavras s’était jusque-là fait un nom en signant des clips percutants. La provocation, l’inventivité et la dérision qui ont forgé sa griffe, on les retrouve dans ce film au confluent de la comédie et du film de gangsters. François (Karim Leklou, formidable en faux crétin) est un petit dealer de banlieue, qui rêve d’un business tranquille. Mais il doit subir les toquades d’un jeune caïd surnommé Poutine, dont la violence n’a d’égale que la bêtise. Si le clinquant caractérise Le monde est à toi, il voisine toujours avec le grotesque. Ainsi François est-il entouré de pieds nickelés pas vraiment fiables, comme son beau-père fraîchement sorti de taule (Vincent Cassel, bidonnant). Plus toxique encore, il y a sa mère (Isabelle Adjani), arnaqueuse à l’allure de diva.Looks, musique, trognes, sens de la caricature et décors au modernisme tape-à-l’œil : tout contribue au punch de cette farce apportant du sang neuf, mixage de Quentin Tarantino (l’outrance) et de farce à l’italienne (la férocité tendre). Le film s’expatrie un moment sur la Costa Blanca, où l’intrigue se révèle plus dense que prévu, avec des retournements inattendus, à mesure que François gagne en épaisseur. Son parcours est moins celui d’un héros que celui d’un fils gagnant son indépendance. Ce qui n’est pas très original. Mais en matière d’efficacité narrative, de performance collective des acteurs et de tchatche, le film est très attractif."