Les sorins des shinbashiras.. pas seulement des décorations

Publié le 03 septembre 2021 par Feydharkonnen

https://www.youtube.com/watch?v=H7pcm5vICdU

Dampers internes fabriqués par la NASA.. Je pensais en voyant cette tour du Tokyo Skytree à une technologie beaucoup plus évoluée.. Mais il reste que cette tour de 635 mètres est remarquable, et basée sur le style des pagodes à colonne vertébrale (shinbashira).

image d'un schéma de pagode en quniconce


Les pagodes à shinbashira (pilier central) ont un secret différent de celui que les modèles occidentaux imaginent. Qui peut me prouver que la simulation ci-dessous est la bonne ? Moi, j'ai pensé d'emblée à toute autre chose. Quand ton pied achope sur un caillou.. est-ce que ta colonne vertébrale se met les vertèbres en quinconce ?

vidéo de five storey pagodas


Sans rien connaître de ce qu'il faut savoir sur les pagodes.. Sont-elles reliées au sol par leur périphérie ou par leur shnbashira ? ..Parce que notre colonne vertébrale  nous n'est pas reliée au sol !
Remarquez que dans cette vidéo très bien faite, les secrets des pagodes ont été effacés de l'enregistrement (à la 6 ième minute et 30 seconde).. Que cherche t on encore à nous cacher ?

La NASA doit fabriquer des secoueurs sismiques ou, de préférence soniques, à vibrations concentriques qui remontent un building de façon longitudinale de bas en haut, pour structurer une onde stationnaire.. Mais faire confiance à d'hypothétiques essais ne fera pas avancer les choses. Il me faut analyser beaucoup plus clairement les effets de mire entre le haut et le bas d'un bâtiment pour mieux appliquer cette loi de polarité quantique : "En réponse à une intrusion, un système blessé effectue en urgence, avec la source de cette intrusion, un échange pour adapter et conserver son propre potentiel de puissance."
Pour mieux comprendre les effets de mire, ici à droite et à gauche, voici la photo d'un bâtiment mobile (sous-marin) qu'on appelle vaisseau, car ce qui est mobile rencontre les mêmes difficultés vibratoires venues de l'intérieur ou de l'extérieur.. Même une torpille ne fait de dégâts que par vibrations.

Pour en revenir aux pagodes, les sorins sont intéressants: ces "décorations" placées sur leur toit, qui sont fractalement elles-mêmes des pagodes, sont décrites comme ceci:

WIKIPEDIA... : "Le sōrin est supporté par une longue flèche — souvent obtenue par la réunion de deux ou même trois flèches plus petites — qui descend vers la base de l’édifice. Même si on croit souvent que le pilier au cœur d'une pagode japonaise (ndlr: le shinbashira) est un dispositif pour le renforcer contre les séismes, son seul but est de soutenir le long et lourd sōrin de bronze. Dans de nombreux cas, la flèche centrale n'atteint pas le sol mais trouve sa base quelque part au-dessus du sol au sein de la pagode où elle est soutenue par une poutre ou d'autres moyens. À Nikkō Tōshō-gū (1818), par exemple, elle est suspendue par des chaînes du troisième étage. De sa base sort un long tenon qui, en pénétrant une mortaise dans une base en pierre (心礎, shinso?), l'empêche d'osciller."....

WIKIPEDIA nous fait la démonstration que le sorin est un élément antisismique fractal, même si cette encyclopédie ajoute avec le blabla habituel des scientistes: "Cette structure a été adoptée non pas comme une mesure contre les tremblements de terre, mais parce que, avec le vieillissement, le bois de la pagode, dont le grain est le plus souvent horizontal..." Fantastiques, ces gouttes d'eau en haut du sorin..

Voici schématiquement dessinée (excusez le mauvais dessinateur) ci-dessus une onde stationnaire telle qu'elle doit exister à l'intérieur d'une construction pour ne pas subir d'effets sismiques en aucune manière. Nous allons voir comment cela est possible à partir d'un procédé mécanique.. rudimentaire, certes, mais qui peut expliquer ce qui se passe, notamment au niveau de ce que le pilier shinbarashi est censé représenter. Ce dessin de droite montre une sorte de baguette découpée en 2 parts longitudinales; cettte baguette représente le bâtiment. Le fait qu'elle soit séparée indique qu'à l'intérieur de ce bâtiment montent anarchiquement des ondes sismiques "à droite ou à gauche".

Peu importe le côté du bâtiment qui reçoit l'onde: si au milieu de cet édifice se trouve un répartiteur à crémaillères qui relie à chaque palier les 2 côtés, le bâtiment n'aura pas le temps de souffrir d'une onde à gauche ou à droite. Cette fonction de répartition ne dé-sert que les mouvements de torsion latéraux, mais nous avons une première élément anti sismique sous la main.

Pour cela, il faut évidemment que le distributeur (shinbashira) ne soit pas fixé sur la struture statique du bâtiment; or dans les vraies pagodes japonaises, comme on peut le lire dans Wikipédia, le shinbashira non seulement n'est pas enfoncé dans le sol, mais il est quelques fois soutenu par des chaînes accrochées au bâtiment, ce qui fait toute la différence.

La notion de répartiteur est cruciale au niveau quantique, parce que, si jusqu'ici nous avons vu que la polarité peut et doit équilibrer une intrusion d'énergie à chaque étage d'un système, ce qui manquait jusqu'ici était l'interface qui permet de mobiliser l'intrusion et la compensation. L'entrée dans la quatrième dimension d'un bâtiment ou d'un vaisseau, par la prise en main à la fois de l'intrusion (que nous définirons différemment par la suite) et la compensation est le sommet de la discrétion. En matière de stratégie, discrétion signifie furtivité.

Reprenons l'image d'un sorin et voyons d'abord la liste successive de ses étranges étages..