PAUL VALERY (extrait de UNE CHAMBRE CONJECTURALE)

Par Elisabeth Leroy

Le livre fermé, ivre de l'ivresse supérieure des imaginations rapides assimilées, je courus à travers la campagne en un torrent de pensées emporté. 

Et je ne voyais rien. Ma vie s'opposait à moi et je la regardais hors de moi comme un roman, lu dans mon cerveau.

Si bien que soudain réveillé par un coup de soleil entre des buissons, ou un sifflet de machine - qu'importe - Je vis ! et de suite, s'écrivit le paysage apparu, dans mon esprit.

"La ville", maintenant, brillait au loin - Suite réelle aux imaginaires chapitres déjà parcourus.

Le livre fermé, ivre de l'ivresse supérieure des imaginations rapides assimilées, je courus à travers la campagne en un torrent de pensées emporté. 

Et je ne voyais rien. Ma vie s'opposait à moi et je la regardais hors de moi comme un roman, lu dans mon cerveau.

Si bien que soudain réveillé par un coup de soleil entre des buissons, ou un sifflet de machine - qu'importe - Je vis ! et de suite, s'écrivit le paysage apparu, dans mon esprit.

"La ville", maintenant, brillait au loin - Suite réelle aux imaginaires chapitres déjà parcourus.