Aux parois du vivant
Quand ta peau (trans)lucide
Est comme striée par endroits
Ombre suspendue ici-bas
Dans cette grosse flaque
Où surnagent mille visages
Des caresses proscrites
Et ton dernier numéro, annulé
Idéal pour ruminer le jour durant
Remonter les courroies de ton sang
À la recherche de l’altérité
Un court frisson nocturne à la volée
Mais il est trop tard pour l’ascension
Les canalisations sont à sec
Tes cris sonnent creux
Présence à la peine
Fuyant ta propre absence
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