Corail

Par Vertuchou

Il s'alarme à l'idée que, le regard appris,
Il ne reste des yeux que l'herbe du mensonge.
Il est si méfiant que son auvent se gâte À n'attendre que lui seul.


Nul n'empêche jamais la lumière exilée
De trouver son élu dans l'inconnu surpris.
Elle franchit d'un bond l'espace et le jaloux.
Et c'est un astre entier de plus.

René Char

Partager cet article Repost0 &version; Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous : Vous aimerez aussi : L'hiver Maîtrise-toi Un temps pour maintenant Quand les rêves s’éveillent

Poètes d'aujourd'hui

« Article précédent