Les toux du cheval

A chaque saison ces petits ou grands maux et l’automne ainsi que l’hiver ne va pas sans son cortège de nez qui coule et de toux. Ah, non là je m’égare, je parle des enfants

Il existe plusieurs sortes de toux chez le cheval qu’il faudra essayer de reconnaitre le cas échéant. Autrement dit s’agit-il d’une bonne ou d’une mauvaise toux?

Parmi les bonnes toux on note:

• celle dont le seul but est d’expulser un agent irritant, elle ressemble à un aboiement, et sont souvent dues à l’inhalation de poussière ou de fumée, brèves et de courte durée.

• la toux de convalescent qui apparait lorsque la cheval ressort les première fois et qui doit disparaitre peu à peu.

Les mauvaises toux:

Elles surviennent lorsque l’agent irritant provoque une inflammation et une irritation des voies respiratoires. Elles témoignent d’une pathologie respiratoire, c’est le signal d’alarme de l’embouteillage bronchique. La contraction brusque du diaphragme donnant cet effet d’expulsion (ta toux), est un acte réflexe contre un bouchon des voies aériennes. Il faut tenir compte de ce signal d’alarme car il signifie
que le système d’épuration devient défaillant.

A quoi les reconnait-on?

-Elle s’aggrave au fil du temps

-Elle augmente en intensité avec le travail

-La toux semble douloureuse, et peut être sifflante voire étouffée.

Quelle que soit la maladie respiratoire, spasme, œdème et hypersécrétion sont les trais seuls mécanismes l’expliquant. Et la multiplicité  des traitements appliqués à la toux témoigne de la complexité de l’affection et la méconnaissance de ses causes exactes. En question dans les récidives et l’apparition des toux d’écurie notamment, les poussières, la pollution….

Les solutions:

Avant tout chose une bonne hygiène de l’écurie, une ventilation efficace et si besoin est une thérapeutique appropriée.

A lire Tout sur la toux doc PDF

Photo par Len Janes