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Whatever works

Par Christophefaurie

Au fond je n’aime pas les films de Woody Allen, mais je trouve qu’ils ont quelque chose de prévisible et de rassurant, surtout lorsqu’ils parlent de New York. Et j'avais envie de voir un film, et il n'y en avait pas d'autres à portée de jambes.

Comme d’habitude, je ne suis pas convaincu qu’il y ait un énorme contenu : il faut se laisser aller à sa nature, et se méfier des bien mauvais conseils de la morale et de la raison ? Faîtes l’amour pas la guerre ?

Ce que j’ai trouvé curieux, c’est que le film finit bien. Je pensais que la névrose, le moteur des films de Woody Allen, n’avait pas de fin. C’est faux, l’atrabilaire trouve le bonheur. Suicide artistique ?


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