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Rebecca / Daphné du Maurier

Par Blogarnaque

Ah ce temps béni des vacances où j’ai rien foutu (j’ai honte) (ah non j’ai pas honte) mis à part lire deux livres (même pas pour le boulot en plus)

En voici donc un : Rebecca  de Daphné du Maurier conseillée par MissBunny elle-même.

Rebecca / Daphné du Maurier

Alors a-t-elle bien fait de me faire acheter ce livre ?

Au début non. Le livre est vieux. L’ambiance est vielle et il regorge de passé simple ce qui fait que j’ai eu un peu de mal à rentrer dedans (ignarde que je suis à ne lire que des trucs plutôt récents)

Et puis après je me suis attachée à l’héroïne, pauvre petite chose perdue dans un monde hostile. Moi j’ai toujours été dans le camp des petites choses et des opprimés.

J’ai donc beaucoup aimé découvrir son histoire et ses rebondissements notamment le dernier (je pensais que c’était vraiment mal barré pour M).

J’ai aussi été très touchée par une phrase de l’héroïne : « je m’étais crue tragique, je n’étais que ridicule « . Cette phrase c’est ni plus ni moins que le résumé de ma vie.

Par contre je suis un poil en colère car à peine remise du retournement de situation final on arrive à la fin du bouquin. Là j’ai crié noooooon je veux connaître la suite !!!

Merci donc MissBunny d’élargir ma culture littéraire

;)

Ah oui tiens le résumé amazon (où on s’apperçoit que critique littéraire c’est un métier;))

Sur Manderley, superbe demeure de l’ouest de l’Angleterre, aux atours victoriens, planent l’angoisse, le doute : la nouvelle épouse de Maximilien de Winter, frêle et innocente jeune femme, réussira-t-elle à se substituer à l’ancienne madame de Winter, morte noyée quelque temps auparavant ? Daphné du Maurier plonge chaque page de son roman  dans une ambiance insoutenable, filigranée par un suspense admirablement distillé, touche après touche, comme pour mieux conserver à chaque nouvelle scène son rythme haletant, pour ne pas dire sa cadence infernale. Un récit d’une étrange rivalité entre une vivante - la nouvelle madame de Winter - et le fantôme d’une défunte, qui hante Maximilien, exerçant sur lui une psychose, dont un analyste aurait bien du mal à dessiner les contours avec certitude. Du grand art que l’écriture de Daphné du Maurier, qui signe là un véritable chef-d’oeuvre de la littérature du XXe siècle, mi-roman policier, mi-drame psychologique familial bourgeois. –Pierre Guillaume


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