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Réponse à @GilRozon

Publié le 23 mai 2012 par Veritejustice @verite_justice

Réponse à @GilRozon

Tel que demandé par Monsieur Rozon, j’ai effectué mes recherches….

Avis: Le présent article suite de celui-ci ne se veut pas une déclaration de guerre mais bien un rappel de faits véridiques.

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« Les menottes, c’est l’humiliation totale »

Ps: Imagine la fille son humiliation….

Treize ans après avoir été condamné pour l’agression sexuelle d’une jeune femme, Gilbert Rozon revient sur les événements.

C’est dans le cadre de l’émission On prend toujours un train pour la vie, animée par Josélito Michaud, que le patron de Juste pour rire s’est confié. Sans détour, il revient sur les événements de 1998, alors qu’il avait plaidé coupable aux accusations portées contre lui et s’était vu menotté devant public.

« Les menottes, c’est l’humiliation totale, la plus grande qu’on peut faire, admet-il. C’est la dignité. C’est un symbole clair pour tout le monde. C’était la première fois de ma vie que je vivais ça. Ç’a été un choc.

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Note: Je préfère ne pas parler de la dignité de la fille car mon ordinateur est assez couteux….

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« Mais en même temps, toute chose a du bon, ajoute-t-il. Il y a du bon à aller aussi bas. Après, on fait les choses pour ce qu’elles sont, pas pour paraître. Être, c’est très dur. »

UN ACT OF GOD

Y en a aussi qui ont dit : Jésus m’avait dit de le faire…….  ;-) 

Aux questions de Josélito Michaud, Gilbert Rozon répond. Il explique entre autres pourquoi il avait plaidé coupable en 1998 au lieu de se battre en justice.

« Je me sentais responsable d’une situation, dit-il. Je n’avais pas invité cette jeune femme-là dans ma chambre. (…)

« Et puis, j’avais fait tellement de conneries dans ma vie. Cet événement était comme une sorte d’Act of God. (…)

« Aller me battre pour prouver mon point aurait été possible, mais il y avait aussi cette possibilité de tout arrêter et de payer un certain prix public. »

Il a en effet payé le prix. L’affaire a fait la une de tous les journaux de l’époque et par le fait même beaucoup de mal à sa famille et à ses proches. À l’émission On prend toujours un train pour la vie, il raconte comment il a expliqué ce passage sombre de sa vie à ses trois fils, « le plus simplement du monde »

« Ils m’ont jugé, précise-t-il, ils sont trois personnages différents et chacun a son point de vue. Ma plus grande peur est qu’ils se calent sur moi, comme si (les conneries) c’était un passage obligé. On finit toujours par imiter son père. »

TROP AIMER LES FEMMES

Gilbert Rozon confesse qu’il a trop aimé les femmes et que la conquête le fascinait. Il a dû aller en thérapie pour se libérer de ce penchant.

« Je regardais des hommes politiques de chez nous et d’ailleurs, Bill Clinton, et je me demandais : « Est-ce que le pouvoir rime avec l’obligation de séduire, de conquérir. J’ai eu peur d’aller vers ça. »

Cette période trouble dans la vie de Gilbert Rozon s’est produite au même moment où son père est décédé. Sans chercher de justification, le patron de Juste pour rire affirme que c’est en se libérant du joug de ce dernier et de l’obligation de lui plaire qu’il a davantage dérouté.

« C’est là que j’ai fait mes plus grosses bêtises », dit-il.

RECONQUÉRIR SA FEMME

La plus grande conquête de Gilbert Rozon aura été celle de sa femme, Danielle Roy, pour la ramener à la maison. Prisonnier d’un grand sentiment d’échec familial, il a voulu recoller les morceaux cassés.

« Ça n’a pas été facile. Elle était avec quelqu’un d’autre. Elle avait de bonnes raisons de partir, dit-il. (…) Elle est revenue par amour et aussi par souci de garder notre famille unie. »

Que reste-t-il pour Rozon des événements de 1998 qui ont chamboulé sa vie ?

« La vulnérabilité et la précarité, répond-il, puisqu’on m’en parlera toujours. Et c’est une bonne chose. Tu ne peux pas nier ton passé. »

Suite

Mot de la fin

Même si Monsieur Rozon n’avoue pas directement et ne semble pas avoir de remord, Il assume et cela je respecte.

Mon point de vue est que monsieur peut avoir son opinion sur la loi 78 et je respecte cette dernière mais à mettre trop d’huiles sur le feu et aller en rire avec Denis Lévesque est dépasser la limite alors que nous savons tous de quelle façon le réseau agit avec les étudiants depuis 2 mois. (Martineau / Duhaime )

Fin de la discussion!


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