Un mien ami, un fidèle parmi les fidèles, m'envoie très gentiment un avertissement au sujet d'une remarque dans un billet précédent que je re-cite ici :
"Les drônes anti-grêle : pourquoi pas imaginer un ensemble de drônes au-dessus d'une vigne comme support d'une couverture qui évacuerait sur les côtés les grelons si néfastes à cette vigne ?"
Avec une grande sagesse, il me rappelle le courroux qu'a dû affronter sieur Jean-Luc Thunevin (et quelques autres aussi, si je me souviens bien) lorsque les hautes autorités chargées d'imposer le respect de règles du XIXème siècle ont froncé les sourcils à son initiative de bâches chargées d'écouler les eaux intempestives qui menaçaient ses vignes.
Et donc, quid de ce système - on est encore en totale imagination, hein : pas de panique ! - de drônes qui tiendraient une sorte de toit pour permettre aux vignerons de Meursault de ne pas subir, encore et encore, des grêles désastreuses, comme récemment dans le Mâconnais ?
Les assurances ? Vous en connaissez le coût ? Elles ne prennent pas trop de risques, elles !
Bref : la question générale est : oui ou non, jusqu'à quel point les instances de contrôle exerçant un pouvoir sur le monde des vignerons, peuvent, doivent rester inflexibles versus ce type d'évolution technique possible ?
… alors même que probablement, dans d'autres pays, ce type d'évolution sera accepté !
Jusqu'à quel point - et on le voit souvent dans bien des positions politiques en France - on doit rester bec et ongle sur des principes du passé en supputant que les réelles qualités des choses ne peuvent survivre qu'avec un respect quasi aveugle des règles historiques ?
Va savoir, Charles !
POUR MES LECTEURS SANS MARCHE ARRIERE : UN AVENIR PROCHE ?
©Jean
TANT QUE NOUS SOMMES DANS LES QUESTIONS… SOYONS FOUS :-)
Lors d'une réception chez l'Ambassadeur UK à Paris : Faut-il être de la noblesse pour porter, en black tie, ces sublimes pantoufles à rendre jaloux plus d'un cardinal de la curie ?
Jeu de briques
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