Pouvait pas s'empêcher d'être devant, sur les photos...Il en avait toujours été ainsi. Parait que cela venait de sa petite enfance; il avait été élevé comme ça.Premier de la classe et à voler de ses propres ailes.La fierté des parents, même si ils l'avaient perdu de vue très tôt.Un ingrat sans doute où alors c'était autre chose,la peur d'être oublié?Une timidité profonde, que dis-je maladive; le forçant à s'exhiber?Personne savait, on supputait à tout va sur le front de mer,mais en attendant, il était toujours là, sur son "tapis" volantà se faire photographier à longueur d'année et surtout quand passait un paquebot, un cargo, ou des gens...
Histoire de leur voler-un peu- la vedette...
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photo agglo st nazaire« Marché d’Ici » de 10 h à 18 hLe 7 octobre 2023 au port de RozéÀ Saint-Malo de GuersacLe deuxième « Marché d’Ici » sur le site du port de Rozé.EXPOSANTS : artisans locauxL’épicerie La locomotive sera ouverte toute la journée pour l’occasion.Restauration et bar sur place : tajines, saucisses frites et crêpes. \\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\````[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[[
" Quand je vois passer un bateau
J'ai envie de me foutre à l'eau
Et d'enjamber le bastingage
Et vivre entre le ciel et l'eau
Le reste de mon âge.
J'ai envie d'aller où il va
Remonter le long de Java
Descendre à terre, le soir au mouillage
Et rire comme un étranger
D'un rire qui fait éclater
La rose bleue d'un tatouage.
J'ai envie d'aller loin d'ici
Brûler ma vie dans ces pays
Où les cargos éventrent les collines
Aller de Manille à Cuba
Changer le coton en tabac
Et le tabac en cocaïne.
Plonger le poing rongé de sel
Dans le corsage d'arc-en-ciel
D'une chinoise ou bien d'une manouche
Et prendre ses seins tout petits
Comme des oeufs au fond d'un nid
Pour les écraser sur ma bouche.
Tailler, le couteau bien en main
Une balafre à mon destin
Et enlacer ces filles malhonnêtes
Qui, par un mouvement des reins
Allument le sang des marins
Au fonds des clandés de Papeete.
Défilant le long du bateau
Regarder les champs de pavots
Semés de filles à la démarche étrange
Le pan de la jupe fendue
Bat l'amble sur des jambes nues
Juteuses comme des oranges.
PROGRAMME
\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\[[[[[[[[[[||||||||||||||||||||||||| "J'adore les bagnoles "(sic)
"Dans Les usines Citroèn je fus construite,
Jamais on n'avait vu une ligne pareille,
A l'époque où les gens aimaient prendre la fuite
Le week-end-end en famille c'était moi la plus belle !!!
Je n'étais pas chère mais si confortable,
Je dansais sur les routes de nos campagnes,
J'emmenais les enfants ou bien les notables,
De nombreux commerçants je devins la compagne...
Combien de modes ai-je donc traversées?
Sur les chemins hippies je fus symbolisée,
Devenue icône de paix bien fièrement
Je reste pour toujours la mémoire d'un temps...
Puis est arrivée l'heure de l'électronique
Où la simplicité devait être bannie;
Donc s'est arrêtée la chaîne pacifique,
Les ouvriers pleurèrent qu'on me sacrifie...
Mais à nouveau mes bielles se sont agitées,
Ma carcasse rouillée allait reprendre vie
Grâce à ces passionnés plein de mélancolie
Refusant le tragique de ma destinée...
Des quatre coins de France je suis ressortie
Des garages et des granges où j'attendais la mort;
Réparée, ressoudée, ma robe embellie
De mille et un éclats par cet élan si fort
De notre patrimoine dont je fais partie,
Ce pays attaché aux valeurs, quelle chance!
Si bien qu'à l'étranger ma renommée grandit,
Ainsi je suis si fière de mon nom" Source
de quoi en faire toute une histoire \\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\`````|||||||||
INFOS \\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\\[{{{{{{{{{{{{{{
"Prana" de Sébastien Guérive, à voir chez: KUB
"L'ombre ne vit qu'à la lumière" Jules Renard