Tout au fond de ma cage mentale, dans le renfoncement de l’escalier en colimaçon se terre une créature frémissante aux yeux exorbités dont le corps est recouvert de piquants à rendre jaloux le roi des hérissons un jour de guillotine.
Un jour ils auront sa peau mais pour l’instant je parviens encore à la garder en vie, bien dissimulé dans l’anonymat de mon entre-soi.