Steve Ballmer, un homme dont l’histoire peut inspirer les futurs milliardaires. Après un départ modeste, il est aujourd’hui l’un des dix hommes les plus riches du monde.
Quitter la MBA pour Microsoft: un saut dans l’inconnu
À l’âge de 24 ans, Steve Ballmer a pris une décision audacieuse en quittant son programme de MBA à Stanford pour rejoindre la nouvelle entreprise fondée par son ami de Harvard, Bill Gates.
Cette entreprise n’était autre que Microsoft. Il a débuté en tant qu’assistant de Gates, gagnant un modeste salaire de 50 000 $ par an.
Ses parents étaient inquiets de son choix, étant donné son brillant parcours académique.
La Gestion de Gates: une compétence clé
La principale compétence de Ballmer était de savoir comment gérer Gates, qui avait la réputation de ne rien déléguer.
Lorsque IBM a sollicité l’aide de Microsoft en 1980 pour développer un système d’exploitation pour ses ordinateurs personnels, Ballmer a joué un rôle crucial pour conclure cet accord.
3. Du Bureau à la Bourse: la richesse accumulée
Après des années de progression chez Microsoft, Ballmer est devenu président de l’entreprise en 1998, puis PDG deux ans plus tard.
Il a guidé Microsoft à travers diverses épreuves, y compris la bulle Internet et la bataille antitrust.
Malgré quelques erreurs, comme avoir sous-estimé l’iPhone, il a réussi à accumuler une fortune considérable.
En 2014, après 34 ans chez Microsoft, Ballmer a quitté son poste de PDG en détenant environ 4 % de l’entreprise.
En 2023, sa fortune s’élève à environ 110 milliards $, ce qui le classe parmi les neuf personnes les plus riches du monde sur la liste Forbes des milliardaires.
En bonus, Ballmer a réalisé son rêve en achetant l’équipe de la NBA, les Los Angeles Clippers, pour 2 milliards $ en 2014.
Steve Ballmer a montré qu’il ne faut pas avoir peur de suivre sa passion, même si cela signifie quitter le chemin académique traditionnel, pour atteindre des sommets inimaginables.
Alors, qui sait, peut-être que vous aussi, un jour, serez sur le bord du terrain de votre équipe, en souriant et comptant vos milliards.