En 2008, Deutsche Post a lancé le « #Handyporto », désormais connu sous le nom de timbre mobile. Dans les CGV, il y a une clause indiquant que ces timbres mobiles ne sont valables que 14 jours. Cependant, une limitation de validité a désormais été interdite par un tribunal.
Le cachet mobile doit être valable plus de 14 jours
En 2020, le timbre mobile a émergé de l’ancien service postal par téléphone portable de la Deutsche Post. L’affranchissement des lettres par SMS est devenu un timbre via une application. Avec l’adaptation des frais de port, les anciens timbres Mobile ont perdu leur validité le 1er janvier 2022, car ils ne pouvaient pas être combinés avec les timbres supplémentaires supplémentaires.
A cette époque, une limitation de la validité à une période de 14 jours a également été introduite. « Vous recevrez directement votre code valable 14 jours », dit-on de la part de Deutsche Post.
Cependant, cette restriction n’est pas valide, comme l’a décidé le tribunal régional de Cologne dans le cadre d’un procès intenté par la Fédération des organisations allemandes de consommateurs (vzbv) .
Selon le jugement, la durée de validité du service Mobile Briefmarke et la clause qui l’accompagne dans les conditions générales de l’entreprise n’étaient pas valables. Selon la loi, les créances découlant d’un contrat de vente se prescrivent au bout de trois ans.
- Aussi intéressant : Deutsche Post discontinues E-Post
Clause inacceptable
La clause du Post s’en écarte « d’une manière inacceptable ». Au bout de 14 jours, la Poste conserve simplement l’argent pour les codes postaux déjà payés mais non encore utilisés, sans rien fournir en retour», explique Jana Brockfeld, conseillère juridique de l’asbl.
« Cette réduction extrême du délai de prescription légal de trois ans est illégale. » » continua Brockfeld. Deutsche Post a apparemment déclaré que la validité limitée du timbre mobile était nécessaire en raison du nombre limité de caractères et pour éviter des abus, ce que les juges ont jugé incompréhensible.
Cependant, le principal problème est (était) plutôt que les timbres mobiles achetés ne pouvaient pas être retournés. Quoi qu’il en soit. Deutsche Post devra donc désormais modifier la clause de ses conditions générales, à moins qu’elle ne décide de faire appel de la décision devant le tribunal régional de Cologne. D’ici là, la décision n’est pas encore juridiquement contraignante.