Avec la Rival 3, SteelSeries propose aux joueurs intéressés une souris de jeu d’entrée de gamme qui veut marquer des points à petit prix. Le prix est de 40 euros (actuellement : 19,99 € *).
Néanmoins, la SteelSeries Rival 3 offre un éclairage RVB, la prise en charge de SteelSeries Engine 3 et reprend également la tendance actuelle des souris légères. Les performances du capteur sont acceptables au moins sur le papier. Mais est-ce suffisant pour enthousiasmer les joueurs et existe-t-il d’autres limitations qu’une résolution CPI inférieure ? Ces questions et d’autres ont été abordées dans notre examen du SteelSeries Rival 3. Vous trouverez les réponses ci-dessous.
Détails techniques
Ergonomie: Symétrique (droitier)
Capteur: optique SteelSeries TrueMove Core (PixArt)
Résolution: 100 – 8 500 CPI, 5 niveaux
Vitesse: 7,6 m/s
Accélération: 343 m/s²
Taux d’interrogation USB : 1 000 Hz
Bouton principal : Zippy DF3, 60 millions de clics
Nombre de clés : 6
Clés spéciales : molette de la souris, commutateur CPI
Logiciel: 5 profils, entièrement programmables, macros, mémoire interne
Éclairage: 3 zones RVB
Logement: 120,6 × 58,3 – 67,0 × 21,5 – 37,9 mm, plastique ABS noir mat
Poids: 77 grammes (sans câble)
Connexion: Câble USB-A, 1,8 m
Prix: 19,99 € *
Conception et fabrication
Non seulement l’emballage, mais aussi la souris sont immédiatement reconnaissables car elles proviennent de SteelSeries. Le langage de conception des différentes souris de jeu comme la Sensei Ten, la Rival 710 ou encore la Sensei 310 est, malgré de petites différences, identique à celui de la Rival 3. Cependant, la Rival 3 doit être considérée comme le successeur de la Rival 110.
La SteelSeries Rival 3 est une souris très compacte. Avec 120,6 cm de long, 67 cm de large et 37,9 cm de haut pour un poids de 77 grammes (sans câble), il est non seulement petit mais aussi léger.
Le boîtier noir mat en plastique ABS est agréable au toucher et antidérapant dans la main. Malgré l’absence de revêtement en caoutchouc sur les côtés. Hormis l’éclairage RVB intégré, le boîtier de la souris est très discret. L’éclairage RVB, quant à lui, transforme la souris en un véritable accroche-regard. Il est entouré d’un anneau lumineux qui fait le tour de la quasi-totalité de la souris. Elle est divisée en trois zones dont la plus arrière contient également le logo SteelSeries intégré au dos de la souris. Cela nous a un peu surpris, car la plupart du temps les logos peuvent être ajustés de manière dédiée.
Le bas de la souris est équipé de trois pieds de souris. Ceux-ci sont relativement fins et très sensibles aux rayures, ce qui signifie qu’ils s’usent probablement rapidement. Cependant, les propriétés de glisse sont excellentes.
La souris de jeu est connectée avec un câble USB d’une longueur de 1,8 mètres. Le câble est fin et flexible, mais malheureusement pas recouvert de tissu, mais uniquement caoutchouté. Les joueurs professionnels seront certainement également gênés par la moindre flexibilité, mais pour les joueurs occasionnels, cela est tout à fait suffisant.
La finition du SteelSeries Rival 3 est impeccable, comme toujours.
Caractéristiques
À l’intérieur du SteelSeries Rival 3 se trouve un capteur TrueMove Core, conçu en collaboration avec PixArt. Celle-ci offre jusqu’à 8 500 CPI, réglables par pas de 100. Même si cela semble faible par rapport à des souris haut de gamme avec jusqu’à 20 000 CPI, c’est plus que suffisant. Honnêtement : lequel d’entre vous joue avec plus de 2 000 CPI ?
Ainsi, même si le capteur est un modèle d’entrée de gamme, il est plus que suffisant et suit tous les mouvements avec précision et sans délai.
La souris de jeu est équipée d’un total de six boutons. Ce n’est pas grand-chose, mais c’est la même chose que la plupart des souris de jeu. Les boutons gauche et droit de la souris sont équipés de commutateurs Zippy DF3, qui devraient garantir jusqu’à 60 millions de clics. C’est toute une annonce. Et ceci avec une souris économique.
Deux autres boutons sont situés sur le côté gauche, par exemple pour revenir en arrière ou en avant dans le navigateur. De plus, il y a un commutateur CPI à l’arrière de la souris et la molette caoutchoutée de la souris est cliquable.
Tous les boutons sont nets et nécessitent une petite pression pour fonctionner, il est donc peu probable qu’ils soient déclenchés accidentellement. La molette de la souris a une faible résistance, mais une trame clairement visible, de sorte que vous pouvez faire défiler exactement la gamme d’armes de votre tireur préféré.
Ergonomie
Le SteelSeries Rival 3 a une forme symétrique et n’est donc pas ergonomiquement optimisé. Cependant, je trouve personnellement que les souris symétriques tiennent mieux dans ma main. Mais c’est une question de goût.
La seule chose que vous devez garder à l’esprit est que la souris est relativement petite et qu’elle est donc particulièrement adaptée aux mains de petite ou moyenne taille. Il est alors particulièrement bien adapté à la prise en griffe ou en bout de doigt.
Toutes les clés sont accessibles sans aucun problème. Uniquement pour le bouton CPI, l’index doit être un peu plus incliné, mais c’est le cas de la plupart des souris et le bouton est de toute façon rarement utilisé.
Logiciel
Le logiciel « SteelSeries Engine 3 » nous inspire à nouveau à chaque utilisation. Les paramètres de la souris sont clairement présentés et graphiquement bien préparés.
Les réglages tels que le CPI, le taux d’interrogation, l’accrochage d’angle, mais aussi l’éclairage, peuvent être effectués facilement et rapidement. Les réglages effectués peuvent être enregistrés dans cinq profils.
Malheureusement, les profils complets ne peuvent pas être stockés dans la mémoire interne de la souris, mais uniquement les paramètres actuels et les cinq paramètres CPI.
En dehors de cela, le SteelSeries Engine 3 propose plusieurs autres options. Vous pouvez mettre à jour le micrologiciel, lier la souris à d’autres appareils SteelSeries, à des jeux et à diverses autres applications. Il est également possible de changer de profil automatiquement au démarrage d’une partie. Nous aimons vraiment le logiciel et il ne nous a jamais laissé tomber.
Quelque chose
Avant d’examiner SteelSeries Rival 3, nous nous demandions si 8 500 CPI étaient suffisants et s’il y avait des limitations autres que la faible résolution CPI. Tout d’abord : 8 500 CPI sont tout à fait suffisants et le capteur fait du bon travail.
Bien sûr, il existe quelques limitations pour une souris de jeu à 40 euros qui n’existent pas pour les souris plus chères. Par exemple, le câble est uniquement caoutchouté et n’est pas aussi flexible que dans les modèles les plus chers. De plus, les pieds de la souris sont assez fins et s’usent probablement plus rapidement. Et bien sûr, vous devez vous passer de fonctionnalités supplémentaires comme un écran OLED (de toute façon, qui a besoin de ça dans une souris ?).
Dans l’ensemble, la SteelSeries Rival 3 est donc une souris de jeu solide qui offre peu de fonctionnalités, mais offre de bonnes performances et impressionne par un excellent logiciel.
Donc, si vous recherchez une souris petite et légère, vous devriez jeter un œil à la SteelSeries Rival 3. Si la souris est censée être un peu plus légère, cela vaut peut-être la peine de jeter un œil à la Glorious PC Gaming Racel Model O-. Mais celui-ci coûte près de 20 euros de plus, ce qui représente un supplément considérable dans cette gamme de prix.
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