Magazine Journal intime
Parce que l’Intelligence Artificielle suivait un développement sauvage et épileptique qu’aucun organe officiel ne parvenait à réguler, les États créèrent des chiens de garde artificiels qu’ils chargèrent de fouiner dans les grandes bases de données et les moteurs d’apprentissage afin d’y montrer les crocs et d’y faire régner l’ordre. On pouvait donc maintenant souffler : les robots n’auraient pas notre peau ! Mais leurs chiens, peut-être.