Merci pour ce passage mais tu sais, tu dois savoir, que plus rien des mots ne saurait me faire frissonner. Ni de la mémoire et encore moins de l’inconscient que je sais désormais structuré, limité par avance de barrières à ne pas franchir. J’ai dérobé tous les accès, verrouillé chaque issue, agi et non-agi
Une âme contre une autre. J’ai payé!
Puis rien
Le vide
Bavard
Dehors, tout, le monde, silencieux.
Entre les deux, l’homme, de passage
De ta curiosité décroissante, je chois les degrés de l’infini errant
13 aime étage sans ascenseur
Bien sûr le silence, potence, toi et moi suspendus à la corde du temps, tendus comme un arc
Sans doute conviendrait-il d’énoncer que le face à face est immobile et que chacun tient sa distance