Macron joue-t-il au loup avec les mots de l'extrême droite ?
Oyez, oyez, citoyens de la République ! Il semblerait que notre président ait décidé de pimenter son vocabulaire avec des épices un brin corsées. Accrochez-vous à vos dictionnaires, ça va secouer dans le lexique politique !
Le 18 juin dernier, jour où l'on commémore l'appel du Général de Gaulle (vous savez, le mec qui a dit non aux nazis), notre cher Emmanuel Macron a lâché une petite bombe lexicale : "immigrationniste". Bam ! Un mot qui fait d'habitude le bonheur des dîners de l'extrême droite se retrouve dans la bouche présidentielle. Coïncidence ? On a comme un doute...
Mais attendez, ce n'est pas la première fois que Manu nous fait le coup du caméléon linguistique. Il semblerait que notre président ait un petit faible pour les mots qui claquent, quitte à emprunter au vestiaire de l'extrême droite. C'est un peu comme si votre grand-mère se mettait soudain à rapper du NTM : ça surprend, ça choque, mais surtout, ça pose question !
Le problème, c'est que ces petites phrases ne sont pas anodines. À force de les entendre, on finit par s'y habituer. C'est comme manger des chips : au début ça pique, et puis on en reprend sans même s'en rendre compte. Résultat ? Le racisme s'installe tranquillement dans nos salons via nos écrans télé, sans même qu'on y prête attention.
Patrick Boucheron, historien de son état (et pas n'importe lequel, s'il vous plaît), a d'ailleurs sonné l'alarme sur France Inter. Il nous rappelle que les mots ont un pouvoir, et que les utiliser à la légère, c'est jouer avec le feu. Ou avec un lance-flammes dans une poudrière, au choix.
Alors, que se passe-t-il ? Notre président joue-t-il au loup avec les mots de l'extrême droite ? Essaie-t-il de séduire un électorat qui lui échappe ? Ou est-ce simplement une façon de dire "Regardez, je suis cool, je parle comme vous, élevteur qui hésite à voter RN" ?
Quoi qu'il en soit, ce petit jeu linguistique est dangereux. À force de normaliser des termes chargés, on risque de se retrouver avec une République où "Liberté, Égalité, Fraternité" serait remplacé par "Méfiance, Exclusion, Division". Pas vraiment le programme qu'on avait en tête, non ?
Alors, chers concitoyens, ouvrez grand vos esgourdes et affûtez votre esprit critique. La prochaine fois que vous entendrez une petite phrase qui claque, demandez-vous d'où elle vient et ce qu'elle implique vraiment. Parce que les mots, c'est comme les cookies sur internet : il faut savoir les accepter avec discernement !
Et vous, que pensez-vous de ce nouveau Macron linguistiquement incorrect ? Simple stratégie politique ou glissement dangereux ? Le débat est ouvert, et il promet d'être aussi épicé qu'un kebab sauce samouraï !
Qui est Patrick Boucheron ?
Imaginez un peu : un historien médiéviste qui parle du passé comme si c'était une série Netflix, avec le charisme d'un rockstar et le cerveau d'un prix Nobel. Eh bien, c'est notre Patrick national !
Né en 1965 (l'année où les Beatles ont secoué Shea Stadium, coïncidence ?), ce type a fait du Moyen Âge son terrain de jeu. Professeur au Collège de France depuis 2015, il jongle avec les siècles comme d'autres avec des balles de jonglage.
Son truc ? Rendre l'Histoire aussi addictive qu'une série télé. Il a cette façon de raconter le passé qui vous donne envie de voyager dans le temps (sans la DeLorean, malheureusement).
Boucheron, c'est le mec qui peut vous parler de Léonard de Vinci comme s'il avait pris un café avec lui hier, ou vous expliquer les croisades avec l'intensité d'un commentateur sportif.
Mais attention, ce n'est pas qu'un conteur. C'est aussi un penseur qui n'hésite pas à secouer le cocotier des idées reçues. Quand il parle du présent à travers le prisme du passé, ça décoiffe ! C'est pas Manu qui dira le contraire ?
Bref, si l'Histoire était une fête, Patrick Boucheron serait le DJ qui fait danser tout le monde, des rois aux paysans, sur des remix de chroniques médiévales. Un vrai passeur de temps, quoi !
Angry Mum, maman active, maman geek et toujours à l'écoute d'Internet... Elle adore les vacances mais pas toujours les vacances scolaires !