Lors d’un discours à Kaboul le mercredi 20 août après la mort des dix soldats français tombés dans une embuscade en Afghanistan, le président s’est autorisé une petite plaisanterie et un ricanement que certains ont jugé bien mal venus.
Lors d’un discours à Kaboul le mercredi 20 août après la mort des dix soldats français tombés dans une embuscade en Afghanistan, le président s’est autorisé une petite plaisanterie et un ricanement que certains ont jugé bien mal venus.