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Leçon numéro 2 : Quant tu fais une connerie, fait la bien !

Publié le 27 août 2008 par Jessie74
Au final, j’observe, les yeux ébahis, je constate que beaucoup de chose on changées. Mes doutes d’hier se ravivent, je me sens subitement si loin des choses et si peu proche des gens avec qui avant tout était si transparent. Je me souvient d’une main tendu qui aujourd’hui se prend une claque incroyable, je vois s’épandre une osmose dont je me sent si loin, loin des amitiés nouvelles… Des souvenirs qui se créer entre la communauté, dont je ne capte plus aucun sens... Je chercher ma place entre tous et je ne parviens plus à la trouver réellement, mon état d’esprit n’aide pas à la tache. Paris a amoncelé une rupture vitale, une déchirure profonde ravivée par les douleurs vécues depuis 2 ans ! Trop de chose sont resté en suspens dans mes entrailles morales, la déception s’ajoute de ne pas me sentir écouté – simplement entendue à la hâte - Je me construit seule, depuis près de deux ans, je regarde le monde s’activer et s’enduire d’égoïsme et de narcissisme et je suis triste… Je me noie continuellement dans mon irréalité, je sais que je finirai par me noyer dans mes défauts j’ai eux besoin de tendresse, j’ai eu simplement besoin qu’un ami vienne, un soir, me prenne dans ses bras, passe quelques jours avec moi dans mon univers calfeutré et me laisse pleurer cette douleurs indigeste, essai de m’écouter sortir cette bile subjective des aléas des mois passés… et m’aide à sortir de mon bleus… mais j’ai compris à mes dépends… que paris m’avait fait perdre bien plus… chacun dans sa bulles, et dans ses soucies, je me suis déplacé seule, j’ai écouter les histoires des gens, leurs vies, leurs douleurs et je n’ai pas senti la réciprocité des choses. Qui peut prétendre m’avoir vu craquer alors que comme tout le monde j’ai vécu une rupture, une perte d’emploi, l’isolement, un boulversement de vie entre ici et Fontenay ! Toutes ses choses que l’on confie à ses proches sont resté prisonnière de mon cœur et de ma tête.
Tout ne sera plus jamais comme avant et je me complairait dans mon manque de volonté comme le suicide de toutes moralité. Si tu me connaissais réellement bien, tu auras déjà capté cette douleur et tu l’aurais pris entre tes mains pour m’aider à la penser… Il y a la bonne et la mauvaise manière d’appréhender les épreuves douloureuses quant on est seule… j’ai choisi la mauvaise… quant tu fait une connerie, fait là bien et jusqu’au bout !

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