
à leurs pieds , au quotidienébranléspar cette masse compacte d’attentes de plaintes et de murmuresengoncés dans cette gangue de douleurs aveugles parfois suffoqués sous cet incessant refluxeux tous, tes pauvres journaliersau dos cassé à forcede travail dans tes champsusés de ce labeur ingrateux tous et chacun d’eux fourbuset Te priant et se priant les uns les autresdans l’obscurité de leur tête à tête avec toidans l’éternité bienheureuse du service qui est sa propre récompense
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