Par Pascal Dibie. Quand je travaillais dans les réserves indiennes d’Amérique du Nord nous recevions de l’aide internationale : les enfants raffolaient de La Vache Qui Rit et les adultes Amérindiens n’hésitaient pas à le faire fondre sur leur fried bread traditionnel. Son goût relativement neutre et sa consistance molle en font un aliment apprécié de tous et plus facile en tout cas à avaler que la moutarde de Dijon dont on recevait des stocks inutilisables en Amérique. Lire la suite...
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Par Pascal Dibie. Quand je travaillais dans les réserves indiennes d’Amérique du Nord nous recevions de l’aide internationale : les enfants raffolaient de La Vache Qui Rit et les adultes Amérindiens n’hésitaient pas à le faire fondre sur leur fried bread traditionnel. Son goût relativement neutre et sa consistance molle en font un aliment apprécié de tous et plus facile en tout cas à avaler que la moutarde de Dijon dont on recevait des stocks inutilisables en Amérique. Lire la suite...
