Je viens de lire la tribune d'Alain Lambert, dans le Figaro du 29 août dernier. J'avoue que je me retrouve dans la plupart des points évoqués par le sénateur de l'Orne.
Je suis un lecteur plutôt attentif des travaux de nombre de sénateurs et de commissions sénatoriales, et il m'arrive assez souvent de lire les compte-rendus des débats du Sénat.
Parce qu'il n'est pas immédiatement impliqué dans les querelles partisanes et soumis à au devoir de plaire à tout prix, du fait de son mode de renouvellement, le Sénat échappe aux formes les plus communes de la démagogie. Les débats qui…