En leur temps, Molière, Verlaine, Balzac, Artaud et Alphonse Allais ont décidé que 51 constituait un score honorable pour raccrocher la plume et le palpitant. Pas sûr, toutefois, que si on leur avait posé la question, ils auraient validé cette option.Qu’aurait écrit Molière s’il avait bénéficié de deux ou trois décennies supplémentaires ? Après un certain âge, on ne fait que radoter et cette mauvaise habitude devient pire encore lorsqu’on se pique d’écrire.
