Magazine Poésie

L'HUMOUR DE Pierre DESPROGES

Par Elisabeth Leroy

Dernières volontés : j'ai pas peur de l'avouer, j'avais 40 ans passés, eh bien, le jour de la mort de Brassens, j'ai pleuré comme un môme. Alors que, c'est curieux, mais, le jour de la mort de Tino Rossi,  j'ai repris deux fois des moules.

Intro : Savez-vous seulement quelle différence il y a entre un psychotique et un névrosé ?

Un psychotique, c'est quelqu'un qui croit dur comme fer que 2 et 2 font 5, et qui en est pleinement satisfait. 

Un névrosé, c'est quelqu'un qui sait pertinemment que 2 et 2 font 4, et ça le rend malade.

Q.I. 130 : L'intelligence c'est le seul outil qui permet à l'homme de mesurer l'étendue de son malheur. L'intelligence c'est comme les parachutes. Quand on n'en a pas, on s'écrase.

Pierre DESPROGES.jpg

Dernières volontés : j'ai pas peur de l'avouer, j'avais 40 ans passés, eh bien, le jour de la mort de Brassens, j'ai pleuré comme un môme. Alors que, c'est curieux, mais, le jour de la mort de Tino Rossi,  j'ai repris deux fois des moules.

Intro : Savez-vous seulement quelle différence il y a entre un psychotique et un névrosé ?

Un psychotique, c'est quelqu'un qui croit dur comme fer que 2 et 2 font 5, et qui en est pleinement satisfait. 

Un névrosé, c'est quelqu'un qui sait pertinemment que 2 et 2 font 4, et ça le rend malade.

Q.I. 130 : L'intelligence c'est le seul outil qui permet à l'homme de mesurer l'étendue de son malheur. L'intelligence c'est comme les parachutes. Quand on n'en a pas, on s'écrase.

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