Et comment vivre sans elle, privé de son rire timide et clair, de son teint hâlé couleur de cannelle, de son parfum de girofle, de sa chaleur, de sa langueur, de sa voix lui disant “mon beau monsieur”, des pâmoisons nocturnes dans ses bras, de la chaleur de son sein, de l’ardeur de ses jambes, comment ? Alors il comprit tout ce que signifiait Gabriela. Dieu du ciel ! Que se passait-il, pourquoi cette peur soudaine de la perdre, pourquoi la brise de la mer devenait-elle un vent glacé qui faisait frissonner ses graisses ? Non, la seule pensée de la perdre était intolérable, comment vivre sans elle ?
Jorge Amado, Gabriela, girofle et cannelle.
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