Sa mère estimait que protéger les enfants des dangers et des désillusions du monde pouvait compromettre leur adaptation à la vie en société. Son père, au contraire, défendait la préservation d’une certaine innocence jusqu’aux premiers jours de l’âge adulte. Destin ou hasard, nul ne le sait, mais Enrique V. fut tué d’un coup de canon par un artificier fou qui croyait encore au Père Noël.
