À la veille de l’anniversaire du 4 août 1864
Le long de la grand-route me voilà errant,
À la douce lumière du jour qui s’en va…
C’est dur, j’avance en soupirant…
Mon amie, me vois-tu de là-bas ?
La nuit tombe sur la terre, la nuit tombe,
C’est l’ultime lueur du jour qui s’en va…
Voici le monde où nous vécûmes ensemble,
Mon ange, me vois-tu de là-bas ?
Demain est un jour de prière et de larmes,
Demain est un jour plein de toi…
Mon ange, où que demeurent les âmes,
Mon ange, me vois-tu de là-bas ?
Fiodor Tiouttchev
/Traduction du russe par Sophie Benech

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