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Folio 194 recto du Codex Trecensis 523 conservé à la Médiathèque de Troyes (Champagne), affichant le début du Traité du baptême de Tertullien de Carthage, œuvre latine originellement rédigée vers l’an 206
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Le document ci-dessous est une compilation chronologique des écrits des Pères de l’Église et d’autres sources chrétiennes antiques sur le baptême. Plus précisément, c’est un recueil quasi-exhaustif des textes nous renseignant sur le positionnement crédobaptiste ou pédobaptiste des auteurs, écrits et personnages de la période patristique, ainsi que sur le mode d’administration du rite baptismal (immersion ou aspersion) pratiqué à cette époque.
Pour davantage de clarté, certaines des œuvres sont fournies en plusieurs traductions vernaculaires (différentes traductions françaises ou combinaison de traduction française + anglaise). Ces extraits des sources primaires sont accompagnés de commentaires explicatifs afin de faciliter leur bonne compréhension.
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À noter qu’Ignace d’Antioche, Aristide d’Athènes, Polycarpe de Smyrne, Théophile d’Antioche, Polycrate d’Éphèse, Méliton de Sardes, Firmilien de Cappadoce et Eusèbe de Césarée ne sont pas inclus dans cette anthologie car les sources primaires existantes ne nous permettent pas de savoir avec certitude s’ils étaient crédobaptistes ou pédobaptistes. (Bien qu’il soit chronologiquement *très* probable qu’Ignace, Aristide et Polycarpe étaient crédobaptistes, cela reste une inférence.)
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La lecture attentive et la synthèse raisonnée de cette masse de sources primaires dictent ces quatre conclusions irréfutables :
{1} Le crédobaptisme (baptême des professants / croyants) est la position unanime & universelle dans l’Église antique aux Ier et IIème siècles de l’Ère chrétienne. Cet état de fait s’articule bien avec la réalité historique immédiatement antérieure : Le pédobaptisme (baptême des bébés) est étranger et contraire à l’enseignement du Nouveau Testament, lequel est exclusivement crédobaptiste (cela autant selon la théologie systématique du baptême que selon la théologie alliancielle du baptême).
{2} Le pédobaptisme n’existe pas aux Ier et IIème siècles. Cette hétérodoxie (erreur non-damnable) novatrice apparaît au début du IIIème siècle et coexiste ± « à parité » avec l’orthodoxie crédobaptiste jusqu’à la fin du IVème siècle, puis prends l’ascendant et devient prédominante au courant du Vème siècle.
Cela, je ne suis guère le premier à le constater. Dans L’Église dans l’Empire romain (Éditions Sirey, 1958), Jean Gaudemet écrit : « Le baptême des jeunes enfants [c-à-d des nouveau-nés], qui était apparu au IIIème siècle, devient plus fréquent au IVème et se généralise au Vème. […] Le baptême des jeunes enfants ne s’est cependant pas imposé sans difficultés. […] La doctrine augustinienne [du pédobaptême] l’emporte au [16ème] Concile de Carthage en 418, c[anon] 2, qui admet le baptême des nouveau-nés et fulmine l’anathème contre ceux qui soutiendraient qu’il n’a pas à effacer le péché originel » (p. 58-60).
Semblablement, dans L’Église primitive baptisait-elle les bébés ? (SCM Press, 1963), Kurt Aland écrit (ma traduction) : « Que le baptême des bébés n’est prouvable avec certitude qu’à partir du IIIème siècle […] ne peut pas être contesté suivant les sources » (p. 10) ; « Des témoignages indubitables attestant la pratique du baptême des bébés dans l’Église chrétienne commencent premièrement au IIIème siècle » (p. 46) ; [L]es premiers témoignages non-ambigus en faveur du baptême des bébés émergent environ au milieu de la première moitié du IIIème siècle. Cette non-ambiguïté, toutefois, ne s’applique qu’aux écrits et écrivains concernés » (p. 79) ; « Pour la période avant [200-250], nous ne possédons pas un seul bout d’information qui donne un témoignage concret de l’existence du baptême des bébés » (p. 101) ; « À ce jour, aucune personne ne peut prouver un véritable cas d’un baptême d’un bébé dans la période antérieure à 200 ap. J.-C. [!] sur la base des sources. […] L’entièreté de nos sources, du moins quand prime leur sens littéral, ne se rapportent qu’à des baptêmes d’adultes, ou au mieux d’enfants plus âgés ; cette conclusion ne peut être éludée » (p. 102).
Similairement, dans Le baptême hier et aujourd’hui (Éditions Emmaüs, 1995), Alfred Kuen écrit : « [L]a première attestation indiscutée du baptême des petits enfants se trouve dans la critique contre cette pratique qu’écrivit Tertullien [de Carthage] dans son livre sur le baptême (chap. 18), qui date des premières années du IIIème siècle. […] Des décennies avant Tertullien, il n’existe aucun témoignage en faveur du baptême des enfants [ou plutôt des bébés], seulement des témoignages contre [c-à-d incompatibles avec] un tel baptême. [I]l faut [attendre] jusqu’au IIIème siècle pour découvrir des preuves incontestables de baptêmes d’enfants [nouveau-nés] — et la première mention d’un tel baptême est nettement hostile à cette pratique et la rejette comme une innovation sans justification » (p. 202).
{3} La croyance en la fausse doctrine de la régénération baptismale était *omniprésente* dans l’Église antique dès le milieu du IIème siècle. Cet égarement doctrinal affectait autant les crédobaptistes que les pédobaptistes, chacun à leur manière. Selon ces crédobaptistes, puisque le baptême régénérateur effaçait les péchés commis au cours de la vie, il devait être retardé le plus longtemps possible (ou au moins jusqu’à ce que le candidat ait atteint un degré de maturité spirituelle où il était moins susceptible de pécher), vu la crainte que les péchés commis après le baptême ne puissent jamais être lavés. Selon ces pédobaptistes, puisque le baptême régénérateur effaçait le péché originel hérité d’Adam & Ève à la naissance, il devait être administré le plus tôt possible, faute de quoi un bébé mort sans avoir été baptisé risquait d’aller brûler en Enfer pour toujours.
Ces considérations, quoique théologiquement erronées, furent absolument cruciales et déterminantes. C’est précisément cet enjeu de la régénération baptismale qui décida quelle position (crédobaptême versus pédobaptême) remporta cette compétition doctrinale au Vème siècle. Dès les II-IVèmes siècles, presque tous les chrétiens admettaient – malgré certaines réticences – que les péchés commis après le baptême étaient potentiellement pardonnables. Les chrétiens l’admettaient avec ambivalence ; tous savaient que l’on demeurait pécheur et donc que l’on continuait de pécher même après le baptême. Mais pas grand-monde était fermement persuadé que tous les chrétiens baptisés étaient tous damnés par leurs péchés post-baptismaux, nonobstant un résidu de doute persistant à cet égard.
Or, si le baptême était essentiel au salut (ce que tous admettaient), et qu’il était possible que les péchés post-baptismaux soient pardonnés (ce que tous finirent par admettre également), alors le crédobaptisme était condamné à se faire déclasser par le pédobaptisme. C’est exactement ce qui arriva. Historiquement, c’est la fausse croyance en la régénération baptismale qui a causé l’invention puis la généralisation du baptême des bébés !
Sceptiques ? Citons l’illustre Augustin d’Hippone à comparaître. Parmi ses ≈ 25 affirmations distinctes (!) où il appuie directement le pédobaptême sur la régénération baptismale, celle où il reprend l’argumentation d’un autre éminent zélateur du baptême des bébés, Cyprien de Carthage (c. 252), est la plus croustillante. Il s’agit de cet extrait issu de l’Épître à Marcellin, § 3:5, c. 412 :
« Aussi le bienheureux Cyprien […] tout en se faisant ainsi le puissant avocat de l’enfance [sic], il se garda de la déclarer exempte du péché originel ; parce que nier ce péché, c’eût été anéantir la raison même du baptême [des bébés], pour la réception duquel il plaidait si bien [sic] leur cause. […] Faut-il baptiser nos enfants aussi avant le huitième jour [c-à-d avant la fin du 8ème jour, donc le 8ème jour lui-même] ? Et personne ne se rallia à l’opinion négative ; pourquoi ? C’est qu’on […] regardait comme absolument certaine la perte des âmes, quant au salut éternel, si elles venaient à sortir de la vie présente sans avoir reçu ce sacrement ; et toutefois, l’on avouait que les enfants tout nouvellement éclos du sein maternel avaient uniquement la tache du péché d’origine ; aussi, tout en déclarant que la rémission des péchés leur est plus facile, parce que ce sont des fautes d’autrui, elle ne leur était pas moins nécessaire. »
Il est manifeste que cette gymnastique doctrinale ↑ augustinienne s’auto-incrimine par son caractère anti-scripturaire.
{4} La théologie des alliances concoctée par des réformés pédobaptistes au XVIème siècle pour valider leur maintient du baptême des bébés est en rupture avec le pédobaptisme patristique, et non en continuité avec celui-ci. En effet, alors que les pédobaptistes de l’Antiquité fondaient leur pratique sur la régénération baptismale, ces pédobaptistes de la Réformation fondaient leur pratique sur une théologie alliancielle. Ainsi, une pratique identique est justifiée par des motifs théologiques divergents !
Il y a beaucoup d’autres choses intéressantes à dire sur ce quatrième point, mais cela dépasse le cadre de la présente étude. Je traiterai donc du thème de la discontinuité théologique entre le pédobaptême des Pères de l’Église antique et le pédobaptême “protestant” réinventé au XVIème siècle dans un article subséquent à paraître sur ce blogue cet automne.
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Complément iconographique sur les baptistères paléochrétiens
Liens externes :
- Baptistères paléochrétiens en Occident [Le Monarchomaque]
- Le baptême et les baptistères chrétiens en Tunisie [Archéologie et art chrétien de la Méditerranée antique]
- Superbe dossier photographique : Quelques baptistères de la Tunisie [Zaher Kammoun]
- The World’s Oldest Church : Bible, Art and Ritual at Dura-Europos in Syria [Yale University Press via JSTOR]
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Le baptistère de l’église de Doura Europos (la plus ancienne église-bâtiment connue au monde) en Syrie orientale lors de son excavation en 1932 {Yale University Art Gallery}
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Reconstitution virtuelle du baptistère de l’église de Doura-Europos réalisé par la Yale University Art Gellery
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Croquis de vue transversale du baptistère de Doura-Europos {Yale University Art Gallery}
" data-image-title="Vue transversale, sale baptismale, Église de Doura Europos – Yale U. Art Gallery" data-orig-file="https://monarchomaque.org/wp-content/uploads/2025/09/vue-transversale-sale-baptismale-eglise-de-doura-europos-yale-u.-art-gallery.jpg" data-image-meta="{"aperture":"0","credit":"","camera":"","caption":"","created_timestamp":"0","copyright":"","focal_length":"0","iso":"0","shutter_speed":"0","title":"","orientation":"0"}" width="500" data-medium-file="https://monarchomaque.org/wp-content/uploads/2025/09/vue-transversale-sale-baptismale-eglise-de-doura-europos-yale-u.-art-gallery.jpg?w=300" loading="lazy" data-permalink="https://monarchomaque.org/2025/10/10/bapteme-patristique/vue-transversale-sale-baptismale-eglise-de-doura-europos-yale-u-art-gallery/" alt="" height="503" class="size-full wp-image-12300" data-large-file="https://monarchomaque.org/wp-content/uploads/2025/09/vue-transversale-sale-baptismale-eglise-de-doura-europos-yale-u.-art-gallery.jpg?w=995" />Croquis de vues transversales du baptistère de Doura-Europos {Yale University Art Gallery}
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Croquis de vues frontale et supérieure du baptistère de Doura-Europos {Yale University Art Gallery}
" data-image-title="Vue supérieure, sale baptismale, Église de Doura Europos – Yale U. Art Gallery" data-orig-file="https://monarchomaque.org/wp-content/uploads/2025/09/vue-superieure-sale-baptismale-eglise-de-doura-europos-yale-u.-art-gallery.jpg" data-image-meta="{"aperture":"0","credit":"","camera":"","caption":"","created_timestamp":"0","copyright":"","focal_length":"0","iso":"0","shutter_speed":"0","title":"","orientation":"0"}" width="500" data-medium-file="https://monarchomaque.org/wp-content/uploads/2025/09/vue-superieure-sale-baptismale-eglise-de-doura-europos-yale-u.-art-gallery.jpg?w=293" loading="lazy" data-permalink="https://monarchomaque.org/2025/10/10/bapteme-patristique/vue-superieure-sale-baptismale-eglise-de-doura-europos-yale-u-art-gallery/" alt="" height="513" class="size-full wp-image-12302" data-large-file="https://monarchomaque.org/wp-content/uploads/2025/09/vue-superieure-sale-baptismale-eglise-de-doura-europos-yale-u.-art-gallery.jpg?w=975" />Croquis de vues frontales et supérieure du baptistère de Doura-Europos {Yale University Art Gallery}
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Baptistère de Mariana à Lucciana en Corse {École française de Rome}
" data-image-title="Baptistère de Mariana – École française de Rome (1)" data-orig-file="https://monarchomaque.org/wp-content/uploads/2025/04/baptistere-de-mariana-ecole-francaise-de-rome-1-e1745283552824.jpg" data-image-meta="{"aperture":"0","credit":"","camera":"","caption":"","created_timestamp":"0","copyright":"","focal_length":"0","iso":"0","shutter_speed":"0","title":"","orientation":"0"}" width="1070" data-medium-file="https://monarchomaque.org/wp-content/uploads/2025/04/baptistere-de-mariana-ecole-francaise-de-rome-1-e1745283552824.jpg?w=300" loading="lazy" data-permalink="https://monarchomaque.org/2025/10/10/bapteme-patristique/baptistere-de-mariana-ecole-francaise-de-rome-1/" alt="" height="823" class="wp-image-12095 size-full" data-large-file="https://monarchomaque.org/wp-content/uploads/2025/04/baptistere-de-mariana-ecole-francaise-de-rome-1-e1745283552824.jpg?w=1070" />Baptistère du complexe épiscopal de Mariana (actuelle Lucciana en Corse) aménagé vers l’an 400 {École française de Rome}
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Baptistère du complexe épiscopal de Sufetula (actuelle Sbeïtla en Tunise) aménagé au Vème ou VIème siècle {Jean-Pierre Dalbéra sur Flickr}
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Baptistère de Békalta datant du VIème siècle, découvrt en 1993 et transféré au Musée archéologique de Sousse en Tunisie
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Plaque d’ivoire du baptême de Clovis par Rémi de Reims. Réalisé vers 875 sous Hincmar de Reims, c’est la plus ancienne représentation artistique du baptême (par immersion) du roi des Francs survenu vers 498 {Musée de Picardie à Amiens}
" data-image-title="Plaque d’ivoire du baptême de Clovis par Rémi de Reims" data-orig-file="https://monarchomaque.org/wp-content/uploads/2025/04/plaque-divoire-du-bapteme-de-clovis-par-remi-de-reims.jpg" data-image-meta="{"aperture":"0","credit":"","camera":"","caption":"","created_timestamp":"0","copyright":"","focal_length":"0","iso":"0","shutter_speed":"0","title":"","orientation":"0"}" width="500" data-medium-file="https://monarchomaque.org/wp-content/uploads/2025/04/plaque-divoire-du-bapteme-de-clovis-par-remi-de-reims.jpg?w=300" loading="lazy" data-permalink="https://monarchomaque.org/2025/10/10/bapteme-patristique/plaque-divoire-du-bapteme-de-clovis-par-remi-de-reims/" alt="" height="274" class="wp-image-12093 size-full" data-large-file="https://monarchomaque.org/wp-content/uploads/2025/04/plaque-divoire-du-bapteme-de-clovis-par-remi-de-reims.jpg?w=1195" />Plaque d’ivoire du baptême de Clovis par Rémi de Reims {Musée de Picardie à Amiens} ♦ Réalisée vers 875 sous Hincmar de Reims, c’est la plus ancienne représentation artistique du baptême (par immersion) du « 1er roi des Francs » survenu le 25 décembre 498
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