La salle de boxe se situe à l’extrémité d’une rue qui fut animée mais qui, oubliée des aménagements urbains, est devenue déserte. Un axe qui reliait autrefois la haute ville à la lagune et qui n’est plus qu’un dépotoir à ciel ouvert, usine à recycler les seringues usagées et les rêves mal ajustés. C’est pourtant là qu’il se rend chaque jour, le regard posé sur la salle de boxe, fort de cette conviction qu’en dépit de tout, rien ne le fera abandonner.
Magazine Journal intime
La salle de boxe se situe à l’extrémité d’une rue qui fut animée mais qui, oubliée des aménagements urbains, est devenue déserte. Un axe qui reliait autrefois la haute ville à la lagune et qui n’est plus qu’un dépotoir à ciel ouvert, usine à recycler les seringues usagées et les rêves mal ajustés. C’est pourtant là qu’il se rend chaque jour, le regard posé sur la salle de boxe, fort de cette conviction qu’en dépit de tout, rien ne le fera abandonner.
