Le 19 septembre 1914, on enterre le Sergent Morelle dans la prairie à droite du chemin, près le Four de Paris, et tout le Bataillon rend les honneurs.
Sur la fosse ouverte, un Caporal récite des prières tandis que le Lieutenant ému prononce ces mots : "Sergent Morelle, toi qui as vaillamment fait ton devoir, je ne te dis pas adieu mais au revoir".
Le Commandant salue la troupe, rend les honneurs et on salue ce camarade, le 1er auquel nous avons pu rendre ce dernier devoir.
Pendant notre marche en avant, nous avons croisé des cadavres abandonnés mais on n'avait pas le temps de les enterrer, chose fût faite par les territoriaux qui nous ont suivis.
Partout des tumulus ou des petits monticules rappelaient la lutte âpre qui avait dû se livrer quelques jours auparavant.
(FOUR de PARIS en photo)

(en photos : les médailles de mon grand père paternel).


Le 19 septembre 1914, on enterre le Sergent Morelle dans la prairie à droite du chemin, près le Four de Paris, et tout le Bataillon rend les honneurs.
Sur la fosse ouverte, un Caporal récite des prières tandis que le Lieutenant ému prononce ces mots : "Sergent Morelle, toi qui as vaillamment fait ton devoir, je ne te dis pas adieu mais au revoir".
Le Commandant salue la troupe, rend les honneurs et on salue ce camarade, le 1er auquel nous avons pu rendre ce dernier devoir.
Pendant notre marche en avant, nous avons croisé des cadavres abandonnés mais on n'avait pas le temps de les enterrer, chose fût faite par les territoriaux qui nous ont suivis.
Partout des tumulus ou des petits monticules rappelaient la lutte âpre qui avait dû se livrer quelques jours auparavant.
(FOUR de PARIS en photo)

(en photos : les médailles de mon grand père paternel).


