Lorsque je me suis connecté à la mnésie téléchargée dans ma céphalée existencielle sur Terra 1 configuration plate, j'ai cherché à rejoindre le vaisseau mère.
Chaque fenêtre de l'espace de rétention où j'étais entravée

étaient occultées par une pellicule argentée et ils m'avaient rasé la tête sans doute pour m'empêcher de communiquer avec l'empereur.
Le vaisseau mère était sous la forme d'une machine expresso dans la cuisine et une T.I me permis d'extraire la molécule arabica diluée dans un solvant à température stable grâce à un code wifi de 14 chiffres 3 lettres dont 1 majuscule et 2 signes spéciaux facile à craquer
Cette planète circulaire ceinte d'une barrière de glace sous un globe assurant sa stabilité thermique était encore sous licence Texas Instrument et Windows XP. Obsolète, forcément obsolète.
J'allais mettre fin à ce programme déviant lorsque un grondement tellurique provenant de mes entrailles me rappella le rite des habitants humanoïdes et la loi en vigueur sur cette création déiste: tout ce qui est entré doit sortir.
Je me souvins que j'avais bouffé mexicain hier soir et surtout que j'avais vu Bugonia à l'UGC Montparnasse dans la même unité de temps terrestre
Je me suis réveillé pour de bon juste à temps pour ne pas chier dans les draps
Bande son Where have all the flowers gone
