Mettre fin à l’intimidation et au harcèlement dès son apparition est primordial. Il est indispensable d'agir, et quelqu'un doit le faire. C'est la première chose que j'ai faite en emménageant dans notre nouvelle maison en 2014, quand j'ai été confrontée à un voisin irascible qui avait l'audace de me « tester », comme le font généralement toutes les grandes gueules du genre.
J'ai réagi fermement, et cela a (presque) mis fin à son agression (il y a eu un autre incident qui a été réprimé de la même manière). Si je n'avais pas réagi rapidement, cet homme s'en prendrait toujours à moi, soit parce que ma gueule ou mon pays d'origine ne lui revenaient pas.
À peu près à la même époque, en 2016, nous avons eu les débats des primaires républicaines, opposant Trump à un groupe de candidats plutôt aussi mauvais. Deux d'entre eux me viennent à l'esprit (Bush et Rubio), car ils avaient été abondamment insultés par Trump.
Si Jebb Bush ou Marco Rubio avaient saisi Donald Trump par les revers du veston, l'avaient secoué violemment et ordonné de quitter la scène du débat sur-le-champ, les États-Unis et le monde n'auraient jamais été terrorisés par Trump et nous serions tous dans une bien meilleure situation aujourd'hui. Tout comme Biden, qui a eu l’idée imbécile de se présenter une seconde fois contre Trump, ces deux hommes portent une immense responsabilité historique et planétaire. Face à l'intimidation, il faut toujours tenir tête !
