Les vaillants chasseurs et souvent pieds nickelés de la communication de Fedpol toujours aussi remplis de sagacité et d’esprit d’entreprendre savaient donc “PAR HASARD” (c’est fou le hasard quand même …) que les fameuses taupes de Securitas existaient.
Entre autres conseils il serait bon qu’ils se rendent de suite sur e-Bay sour y acheter les réserves nécessaires de Taupivore, un produit particulièrement efficace.
Dans le même temps on rappellera que ces braves soldats fédéraux de l’ombre ont des bureaux à Genève dans les locaux mêmes de la police de sureté cantonale, ainsi bien sûr qu’au centre nerveux de la police cantonale vaudoise. On veut bien croire à beaucoup de hasard, mais de là à prendre le collègue du bureau d’à côté pour un dangereux alter mondialiste infiltré dans les rangs de la police cantonale auquel on ne parle pas, il y a des pas qu’on ne saurait franchir avec un minimum de jugeote.
S’il existe en effet de heureux hasards, il n’y a que peu de hasards dont on ne parle que forcés et contraints par une actualité ennuyeuse.
Et si personne dans les polices cantonales ne savait, pourquoi les taupes auraient-elles spontanément cessé de gratter la terre en 2005 ? même l’encore sémillante ministre de Quattro qui parque toujours dans les clous a naïvement estimé que “le fait de savoir que Fedpol était au courant est un bonne nouvelle, car ça veut dire que les activités de Securitas étaient licites“…. on croit rêver.
Et si ça n’arrangeait pas un peu tout le monde, pourquoi n’a-t-on pas encore perquisitionné les locaux de Securitas ? On attend sans doute que la filiale chargée de la destruction professionnelle des documents confidentiels ait terminé son travail…
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