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16 - Chroniques d'un faux hypocondriaque anachronique

Publié le 05 juin 2008 par Sobvious
allez viens ne tarde pas ne sois pas si longue ta robe lâche des vagues douces aux abords de ce qui mord comme l'hiver EH !!!! tA MAIN sous mon sexe qui monte vers l'averse de tes yeux qui veulent déchirer les draps qui n'ont pas d'autre avis que celui que je ne peux décrire... ce parapluie partagé un jour d'automne file file mais bon sang je voyage la grèce ou pas , Paris t'émeut tu es loin tu crois que tu n'es pas là où tu serais si je n'étais pas là ... ah ah aha chante un peu que je suive ta gorge que je suinte au pied de toi, je suis celui qui tend non pas la joue mais le bagou voire l'antre de tes atouts je vole mais non je m'étale dans tes défenses tes offenses de pacotille, je ris mais je rigole bien sûr tu suis mes pas que je ne maîtrise même pas ! ah allez tu dis que je ne comprends pas mais non je ne comprends pas, je t'arrache l'ombre l'ombre de ton string que je ne peux que vouloir goûter de toutes mes lèvres, je chante comme si tu ne pouvais pas m'entendre et je crois que je croasse je crois que tu n'es qu'une faveur dépassée, je file comme un jet d'eau de ce robinet ouvert presque sans y faire attention... la ville tombe par terre, moi je tiens debout, je tiens à vous, je suis à peine au bout de ce que je croyais impossible, je suis là à mordre sans gêne l'arbre de tes seins, la vigueur de ta vigueur vilaine ô ma châtelaine, je suis là à n'en pas douter et pourtant je me brise sur les brisants de ton envie d'être là là ou ailleurs... Que faire si tu n'es pas la grivoise qui d'une ardoise fait une promesse de miroir abandonné, que faire si tu n'es pas celle qui choisis de ne pas serrer le coeur de la nature contre sa nature de fille perdue tellement far away de tout ce qui n'est pas là, tellement

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