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Le crédit « in fine » :
En principe, lorsque l’on fait un crédit pour un investissement locatif, on utilise le principe du crédit « in fine » (in finé).
Dans ce montage spécifique, l’investisseur emprunte contre le nantissement d’un bien qu’il peut souscrire en même temps que son prêt (contrat d’assurance par exemple). Dans cette hypothèse, il ne paie chaque année que les intérêts de crédit. Le capital est remboursé en une seule fois à la fin du prêt.
Les intérêts annuels à verser sont donc automatiquement plus élevé que dans le cadre d’un crédit classique, où le capital s’amortit au fur et à mesure des annuités de remboursement.
L’effet de levier fiscal, par le jeu de la déductibilité est donc, d’autant plus intéressant.