288 pages - 25€
Dans ce livre qui ne ressemble à aucun autre, le plus grand joueur de poker de tous les temps, Doyle Brunson, se remémore 50 ans de carrière de joueur de poker à travers ses 50 coups les plus fameux.
Cette légende vivante, le plus grand joueur du monde devenu professionnel en 1957, nous plonge ainsi dans le monde dur et sans pitié des « rounders » texans d’après-guerre. Monde sans foi ni loi où, Brunson l’écrit lui-même : en plus de gagner, il fallait se faire payer, et pour finir, ne pas se faire braquer ! Passé ces obstacles, vous aviez « peut-être » le droit de vivre…
Prenez place aux côtés du « Poker Godfather » et revivez avec lui des souvenirs parfois cocasses, comme cette carte qui double ou ces deux quintes flush gagnées contre le même joueur. Des souvenirs toujours exceptionnels, comme cette véritable razzia faite par un jeune joueur de passage à Vegas, un certain Chip Reese, qui deviendra un très grand champion. Des souvenirs hauts en couleur, comme ce magnat de la drogue qui exige que le coup se joue sur une seule carte. Des souvenirs agrémentés de points historiques souvent méconnus et des données stratégiques utiles. On ne lit pas Poker 50/50, on le dévore.
Avec 3 articles inédits de Doyle Brunson, et une longue interview de l’auteur.
Quatre exemples :
La main d’à-côté de l’homme mort. Brunson s’apprête à abattre deux paires aux As quand un fou furieux déboule dans le tripot et tire une balle dans la tête du joueur assis à côté de lui. C’est la panique !
Moss battu. Brunson n’est encore qu’un jeune ambitieux quand il arrive à vaincre le dieu vivant de l’époque, Johnny Moss… en payant l’enchère avec hauteur Valet !
Poker mortel. Doyle abat sa main et perd, mais son adversaire tombe raide mort au moment où il ramène ses jetons vers lui, imbibé de whisky.
L’hystérique. Brunson gagne un coup critique mais l’adversaire battu se lève brusquement, un couteau à la main, et fonce vers lui !
Doyle “Texas Dolly” Brunson est né au Texas en 1933. Il personnalise le joueur de poker professionnel de poker avec tout ce que cela implique, ce qu’il est depuis 1957. Il a porté à son paroxysme le concept du jeu mental : Doyle joue l’homme, il ne joue pas les cartes. C’est aussi l’auteur du traité qui a révolutionné la stratégie au poker à la fin des années 1970 : Poker Super System. Il a été deux fois champion du monde et impose le respect à toute la communauté poker.
TABLE DES MATIERES
Introduction
1. Brenham, Texas : le Circuit
2. Mitraillage dans la salle de billard d’Exchange Avenue
3. WSOP 1976 : la “main Doyle Brunson”
4. Golden Nugget : Bobby Baldwin m’affronte
5. Aladdin Casino : la partie de quarante-cinq jours
6. WSOP 1977 : la “main Doyle Brunson” tient
7. San Antonio, Texas : seulement sur invitation
8. Houston, Texas : mon mentor, Johnny Moss
9. Las Vegas : la salle de poker du Silverbird
10. Exchange Avenue : ma plus longue partie
11. World Series of Poker 1986 : dix survivants
12. World Series of Poker 2004 : dura lex, sed lex
13. Freddie (Sarge) Ferris : un des meilleurs au deuce-to-seven
14. Odessa, Texas : l’Eagle’s Club
15. Fort Worth, Texas : l’hôtel Diane
16. Le Flamingo, 1975 : mon premier coup d’œil à Chip Reese
17. 1980 : Stu Ungar et ses premières World Series of Poker
18. Super System : je dois changer mon jeu
19. Un coup avec Joe Bernstein, décoré au Hall of Fame
20. Le Horseshoe : un riche Texan nommé Rex
21. Le premier WPT : jouez votre adversaire, pas vos cartes
22. De la “ceinture de la Bible” au joueur professionnel de poker
23. Brownsville, Texas : se faire financer… ou pas
24. Mobile, Alabama : l’erreur face à Captain John
25. Un mort à table : qui blâme le nullot ?
26. Le Dunes : j’affronte Nick “The Greek” Dandalos
27. Odessa, Texas : “Nullot tueur”
28. Le Montana Banana : chanceux
29. Le Texas Gamblers Tournament : soyez agressif !
30. Le Texas Hold’em des Texans
31. Le Horseshoe : “Ce n’est pas fini jusqu’à ce que ce soit fini”
32. Flamingo : deuce-to-seven
33. “Laissons le hasard décider” : Stu Ungar et moi
34. WSOP 1974 : un certain “Waterhole”
35. WSOP 2006 : le coup sur lequel on me questionne toujours
36. Le “Big game” : j’affronte Lyle Berman
37. Poker Tech : vous avez parfois besoin d’un coup de pouce
38. Sklansky et moi : je n’ai pas fait mes devoirs à la maison
39. George Barnes : un des meilleurs joueurs “inconnus”
40. Omaha en limites fixes : chanceux
41. WSOP 1983 : troisième place ou troisième titre ?
42. Tournoi de Stud à 5 cartes : une règle à ne pas suivre
43. La “guerre des bracelets”
44. Chip Reese : ma bête noire
45. Envisager une brève mise à la retraite
46. Golden Nugget : deux quintes royales ?
47. Les Texas Rangers : “Cap” Riddle
48. Le Golden Nugget pendant les WSOP 2003 : Phil Ivey et moi
49. WSOP 2006 : un autre tournoi à mille dollars
50. Bloqués par la neige : cash-games contre tournois
Suppléments
Doyle “lu” par son traducteur à Londres
De Longworth à Las Vegas, interview de Doyle Brunson
La route vers le profit
La cinquième peur
Le poker qui gagne : un état d’esprit
Lexique abrégé : environ 150 mots du poker
Pense-bête : combinaisons et structure
D’un seul coup d’œil, les 50 coups de Doyle