A l'occasion de l'examen du projet de loi sur les revenus du travail, la CGPME souligne, dans un communiqué, « l'intérêt du dispositif visant à inciter les PME à multiplier les accords d'intéressement, et ce grâce à un crédit d'impôt sur les sociétés. »
Mais, elle « regrette d'autant plus l'instauration d'une taxe sur l'épargne salariale qui sera dans l'esprit des chefs d'entreprises facteur de confusion, alimentant le sentiment que l'Etat donne d'une main pour reprendre de l'autre. »